Bague "Coraille jade"
La créatrice de bijoux et émailleuse Eva Soerensen a conçu la forme des bagues « coraille » en s’inspirant d’une sculpture d’Henry Moore. Elle souhaitait créer une bague sculpturale, avec de grandes surfaces émaillées qui viennent s’enrouler autour du doigt.
Lorsqu’elle réalise les maquettes de ses bagues, elle est très attentive au confort du port du bijou. L’allemand a le terme « handschmeichler », littéralement, « pièce à caresser de la main », qui désigne une pierre ou un morceau de bois poli, doux et lisse, à tenir au creux de la main, procurant une sensation apaisante. C’est cette sensation qu’Eva Soerensen a cherché à recréer avec « coraille ».
Une fois le corps de bague réalisé en argent, elle prépare la poudre d’émail qui viendra décorer chaque ovale, et passe le bijou au four, à 800°C. Il faut autant de cuissons que de couleurs par bague. Chaque cuisson ne dure que quelques minutes, il faut savoir retirer le bijou juste à temps, il s’agit d’une question de secondes. Le bijou est ensuite poli, et l’émail ciré, pour obtenir la douceur voulue pour cette bague caressante.
Eva Soerensen peut ajuster la bague à toutes les tailles, y compris les tailles impaires. Si votre taille n'est pas dans le menu déroulant, sélectionnez "autre taille" et contactez l'artisan pour préciser votre taille à la commande.
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Eva Sörensen
Eva Sörensen
Dans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant.
L’émail en héritage, le métal par passion
La mère d’Eva Soerensen travaillait l’émail, surtout la technique du cloisonné. Enfant, Eva Soerensen se souvient d’avoir rêvé devant les couleurs des bocaux de poudre d’émail, et des odeurs de peinture à l’huile (son grand père, artiste peintre, utilisait également l’atelier).
Comme c’est le métal qui l’intéresse, la résistance du matériau, le travail nécessaire pour lui faire prendre forme, elle commence un cursus en orfèvrerie, mais la manière d’enseigner ne lui convient pas. Revenue faire un stage auprès de sa mère, elle trouve un espace pour libérer sa créativité, s’exprimer à travers le métal et l’émail. Elle termine alors sa formation avec un parcours en design focalisé sur le travail du métal, apportant sa connaissance de l’émail, en particulier la technique de l’émail «à jours».
Emaux et métaux, un terrain de jeux à explorer
Aujourd’hui, dans son atelier, elle crée et cuit dans le four hérité de sa mère ses collections de bijoux en argent émaillé. Mais Eva Soerensen n’a pas fini d’explorer ce qu’elle appelle son «terrain de jeux» : elle réalise également des plaques de cuivre émaillées pour pierres tombales, qu’elle décore selon les vœux des familles, travaille des plats, des coupes…
Côté inspiration, l’artisan d’art, qui a choisi de vivre à Berlin, cite les nombreuses expositions de la ville, et ses échanges avec les 70 autres artistes et professionnels des métiers d’art qui travaillent dans la structure où se trouve son atelier. Des rencontres riches, porteuses de nouvelles découvertes.
Dans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant...
Voir plusRéduireDans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant.
L’émail en héritage, le métal par passion
La mère d’Eva Soerensen travaillait l’émail, surtout la technique du cloisonné. Enfant, Eva Soerensen se souvient d’avoir rêvé devant les couleurs des bocaux de poudre d’émail, et des odeurs de peinture à l’huile (son grand père, artiste peintre, utilisait également l’atelier).
Comme c’est le métal qui l’intéresse, la résistance du matériau, le travail nécessaire pour lui faire prendre forme, elle commence un cursus en orfèvrerie, mais la manière d’enseigner ne lui convient pas. Revenue faire un stage auprès de sa mère, elle trouve un espace pour libérer sa créativité, s’exprimer à travers le métal et l’émail. Elle termine alors sa formation avec un parcours en design focalisé sur le travail du métal, apportant sa connaissance de l’émail, en particulier la technique de l’émail «à jours».
Emaux et métaux, un terrain de jeux à explorer
Aujourd’hui, dans son atelier, elle crée et cuit dans le four hérité de sa mère ses collections de bijoux en argent émaillé. Mais Eva Soerensen n’a pas fini d’explorer ce qu’elle appelle son «terrain de jeux» : elle réalise également des plaques de cuivre émaillées pour pierres tombales, qu’elle décore selon les vœux des familles, travaille des plats, des coupes…
Côté inspiration, l’artisan d’art, qui a choisi de vivre à Berlin, cite les nombreuses expositions de la ville, et ses échanges avec les 70 autres artistes et professionnels des métiers d’art qui travaillent dans la structure où se trouve son atelier. Des rencontres riches, porteuses de nouvelles découvertes.
Dans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant...
Voir plusRéduireDans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant.
L’émail en héritage, le métal par passion
La mère d’Eva Soerensen travaillait l’émail, surtout la technique du cloisonné. Enfant, Eva Soerensen se souvient d’avoir rêvé devant les couleurs des bocaux de poudre d’émail, et des odeurs de peinture à l’huile (son grand père, artiste peintre, utilisait également l’atelier).
Comme c’est le métal qui l’intéresse, la résistance du matériau, le travail nécessaire pour lui faire prendre forme, elle commence un cursus en orfèvrerie, mais la manière d’enseigner ne lui convient pas. Revenue faire un stage auprès de sa mère, elle trouve un espace pour libérer sa créativité, s’exprimer à travers le métal et l’émail. Elle termine alors sa formation avec un parcours en design focalisé sur le travail du métal, apportant sa connaissance de l’émail, en particulier la technique de l’émail «à jours».
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Aujourd’hui, dans son atelier, elle crée et cuit dans le four hérité de sa mère ses collections de bijoux en argent émaillé. Mais Eva Soerensen n’a pas fini d’explorer ce qu’elle appelle son «terrain de jeux» : elle réalise également des plaques de cuivre émaillées pour pierres tombales, qu’elle décore selon les vœux des familles, travaille des plats, des coupes…
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Dans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant...
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