Bol "Avec plaisir"
Le potier Dalloun, l’un des rares céramistes à maîtriser la technique de la terre sigillée en France, a créé ce bol « Avec plaisir » à la Borne, célèbre village de potiers.
Comme tous les bols du céramiste Dalloun, le bol « Avec plaisir » a une forme libre. Dalloun aime créer des pièces qui ne soient pas parfaitement régulières. Il tourne et tournasse ses pièces, puis les nettoie pour obtenir une surface lisse. Une fois le bol sec, il le trempe dans un engobe de terre sigillée, un mélange de très fines particules de terres et d’eau, qui apportera un effet satiné à la cuisson.
Pour fabriquer ses engobes, Dalloun recueille les plus fines particules de terres qu’il récolte dans les régions autour des anciens sites de production de poteries sigillées dans l’Antiquité.
A la cuisson au gaz, entre 980 et 1080 degrés, l’engobe réagit pour donner les motifs et la couleur du bol. Après la cuisson, le céramiste Dalloun enfume le four pour révéler les fines craquelures de l’engobe avec le carbone de la fumée.
Les lignes du bol « Avec Plaisir », qui se glisse naturellement au creux des mains, représentent pour Dalloun un hommage à la nature. Le bol se prend les mains jointes, comme si l’on recueillait l’eau d’un ruisseau.
- Dimensions : diamètre 14,5 cm, hauteur 7 cm
- Quantité : 1
Dalloun
Dalloun
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue.
La céramique, et en particulier la cuisson au feu
En observant des potiers tourner, Dalloun s’est immédiatement intéressé à la céramique : «J’ai trouvé ça assez fantastique, mettre une boule de terre sur un plateau, la façonner et en faire un bol, il y a un côté magique». Mais le feu l’attire encore plus. «Quand j’étais gamin, j’ai vécu dans une boulangerie où il y avait du pain qui cuisait dans un four à bois, c’est peut-être inconscient mais j’aime la cuisson». Dalloun décide alors d’aller à La Borne pour trouver un potier prêt à le former.
La terre sigillée, une technique rare
Parmi toutes les méthodes de céramique qu’il maîtrise, aujourd’hui Dalloun ne se consacre plus qu’à la terre sigillée, une technique rare qui date de l’Antiquité. Elle consiste à recouvrir une poterie non pas avec de l’émail, mais avec un engobe particulier. Cette couverte est réalisée avec de fines particules de terres que Dalloun sélectionne et récolte dans la forêt, sur des chemins ou encore dans les rivières. Après cuisson, la terre sigillée donne aux poteries une surface douce, satinée. Dalloun s’est formé à cette technique, gardée longtemps secrète, grâce au belge Tjok Dessauvage. Il a mis plus de deux ans à arrêter la recette de son engobe, et la juste cuisson pour que le bol soit imperméable sans avoir été émaillé.
Boire dans de la soie
Les bols de Dalloun ont quelque chose de magique : ils se glissent au creux des mains, ils ont une forme libre et vivante. Sur cinquante bols tournés, le potier n’en conservera que la moitié. Derrière chaque bol, il y a un homme et une histoire. Par leur douceur, les bols de Dalloun lui ressemblent. Il cite comme compliment rare cette phrase d’une cliente qui l'a marqué : «Quand on boit dans tes bols, c’est comme si on buvait dans de la soie».
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue...
Voir plusRéduireDalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue.
La céramique, et en particulier la cuisson au feu
En observant des potiers tourner, Dalloun s’est immédiatement intéressé à la céramique : «J’ai trouvé ça assez fantastique, mettre une boule de terre sur un plateau, la façonner et en faire un bol, il y a un côté magique». Mais le feu l’attire encore plus. «Quand j’étais gamin, j’ai vécu dans une boulangerie où il y avait du pain qui cuisait dans un four à bois, c’est peut-être inconscient mais j’aime la cuisson». Dalloun décide alors d’aller à La Borne pour trouver un potier prêt à le former.
La terre sigillée, une technique rare
Parmi toutes les méthodes de céramique qu’il maîtrise, aujourd’hui Dalloun ne se consacre plus qu’à la terre sigillée, une technique rare qui date de l’Antiquité. Elle consiste à recouvrir une poterie non pas avec de l’émail, mais avec un engobe particulier. Cette couverte est réalisée avec de fines particules de terres que Dalloun sélectionne et récolte dans la forêt, sur des chemins ou encore dans les rivières. Après cuisson, la terre sigillée donne aux poteries une surface douce, satinée. Dalloun s’est formé à cette technique, gardée longtemps secrète, grâce au belge Tjok Dessauvage. Il a mis plus de deux ans à arrêter la recette de son engobe, et la juste cuisson pour que le bol soit imperméable sans avoir été émaillé.
Boire dans de la soie
Les bols de Dalloun ont quelque chose de magique : ils se glissent au creux des mains, ils ont une forme libre et vivante. Sur cinquante bols tournés, le potier n’en conservera que la moitié. Derrière chaque bol, il y a un homme et une histoire. Par leur douceur, les bols de Dalloun lui ressemblent. Il cite comme compliment rare cette phrase d’une cliente qui l'a marqué : «Quand on boit dans tes bols, c’est comme si on buvait dans de la soie».
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue...
Voir plusRéduireDalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue.
La céramique, et en particulier la cuisson au feu
En observant des potiers tourner, Dalloun s’est immédiatement intéressé à la céramique : «J’ai trouvé ça assez fantastique, mettre une boule de terre sur un plateau, la façonner et en faire un bol, il y a un côté magique». Mais le feu l’attire encore plus. «Quand j’étais gamin, j’ai vécu dans une boulangerie où il y avait du pain qui cuisait dans un four à bois, c’est peut-être inconscient mais j’aime la cuisson». Dalloun décide alors d’aller à La Borne pour trouver un potier prêt à le former.
La terre sigillée, une technique rare
Parmi toutes les méthodes de céramique qu’il maîtrise, aujourd’hui Dalloun ne se consacre plus qu’à la terre sigillée, une technique rare qui date de l’Antiquité. Elle consiste à recouvrir une poterie non pas avec de l’émail, mais avec un engobe particulier. Cette couverte est réalisée avec de fines particules de terres que Dalloun sélectionne et récolte dans la forêt, sur des chemins ou encore dans les rivières. Après cuisson, la terre sigillée donne aux poteries une surface douce, satinée. Dalloun s’est formé à cette technique, gardée longtemps secrète, grâce au belge Tjok Dessauvage. Il a mis plus de deux ans à arrêter la recette de son engobe, et la juste cuisson pour que le bol soit imperméable sans avoir été émaillé.
Boire dans de la soie
Les bols de Dalloun ont quelque chose de magique : ils se glissent au creux des mains, ils ont une forme libre et vivante. Sur cinquante bols tournés, le potier n’en conservera que la moitié. Derrière chaque bol, il y a un homme et une histoire. Par leur douceur, les bols de Dalloun lui ressemblent. Il cite comme compliment rare cette phrase d’une cliente qui l'a marqué : «Quand on boit dans tes bols, c’est comme si on buvait dans de la soie».
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue...
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