Bol "Vive la Normandie"
Le bol « Vive La Normandie » est une pièce unique, réalisée par le céramiste Dalloun dans son atelier à La Borne, un village traditionnel de potiers. Il s’agit d’un bol d’hiver, un bol à thé, idéal pour se chauffer les mains et garder la chaleur de la boisson.
Le potier réalise ses bols en utilisant comme engobe de la terre sigillée, une méthode inventée à l’époque gréco-romaine. Elle consiste à recouvrir la poterie d’un engobe, mélange liquide réalisé avec les plus fines particules d’une terre sauvage. Pour ce bol, Dalloun a utilisé une terre récoltée en Touraine. La sigillée, que Dalloun vitrifie, permet au bol de devenir imperméable à la cuisson, c’est un vernis naturel.
L’artisan d’art superpose les engobes pour obtenir le plus d’effets possibles. Mais il ne choisit ni les motifs, ni la couleur de ses bols. Le procédé est naturel. La quantité plus ou moins importante d’oxyde de fer et de titane présents dans les particules de terre, et la cuisson au gaz décident de l’effet final. Le potier fait ensuite son choix dans le rendu final : sur cinquante bols, il peut ne conserver que la moitié. « Vive la Normandie » l’a ému par sa belle couleur blanc cassé et ses lignes délicates.
- Dimensions : diamètre 12 cm, hauteur 8,5 cm
- Quantité : 0
Dalloun
Dalloun
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue.
La céramique, et en particulier la cuisson au feu
En observant des potiers tourner, Dalloun s’est immédiatement intéressé à la céramique : «J’ai trouvé ça assez fantastique, mettre une boule de terre sur un plateau, la façonner et en faire un bol, il y a un côté magique». Mais le feu l’attire encore plus. «Quand j’étais gamin, j’ai vécu dans une boulangerie où il y avait du pain qui cuisait dans un four à bois, c’est peut-être inconscient mais j’aime la cuisson». Dalloun décide alors d’aller à La Borne pour trouver un potier prêt à le former.
La terre sigillée, une technique rare
Parmi toutes les méthodes de céramique qu’il maîtrise, aujourd’hui Dalloun ne se consacre plus qu’à la terre sigillée, une technique rare qui date de l’Antiquité. Elle consiste à recouvrir une poterie non pas avec de l’émail, mais avec un engobe particulier. Cette couverte est réalisée avec de fines particules de terres que Dalloun sélectionne et récolte dans la forêt, sur des chemins ou encore dans les rivières. Après cuisson, la terre sigillée donne aux poteries une surface douce, satinée. Dalloun s’est formé à cette technique, gardée longtemps secrète, grâce au belge Tjok Dessauvage. Il a mis plus de deux ans à arrêter la recette de son engobe, et la juste cuisson pour que le bol soit imperméable sans avoir été émaillé.
Boire dans de la soie
Les bols de Dalloun ont quelque chose de magique : ils se glissent au creux des mains, ils ont une forme libre et vivante. Sur cinquante bols tournés, le potier n’en conservera que la moitié. Derrière chaque bol, il y a un homme et une histoire. Par leur douceur, les bols de Dalloun lui ressemblent. Il cite comme compliment rare cette phrase d’une cliente qui l'a marqué : «Quand on boit dans tes bols, c’est comme si on buvait dans de la soie».
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue...
Voir plusRéduireDalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue.
La céramique, et en particulier la cuisson au feu
En observant des potiers tourner, Dalloun s’est immédiatement intéressé à la céramique : «J’ai trouvé ça assez fantastique, mettre une boule de terre sur un plateau, la façonner et en faire un bol, il y a un côté magique». Mais le feu l’attire encore plus. «Quand j’étais gamin, j’ai vécu dans une boulangerie où il y avait du pain qui cuisait dans un four à bois, c’est peut-être inconscient mais j’aime la cuisson». Dalloun décide alors d’aller à La Borne pour trouver un potier prêt à le former.
La terre sigillée, une technique rare
Parmi toutes les méthodes de céramique qu’il maîtrise, aujourd’hui Dalloun ne se consacre plus qu’à la terre sigillée, une technique rare qui date de l’Antiquité. Elle consiste à recouvrir une poterie non pas avec de l’émail, mais avec un engobe particulier. Cette couverte est réalisée avec de fines particules de terres que Dalloun sélectionne et récolte dans la forêt, sur des chemins ou encore dans les rivières. Après cuisson, la terre sigillée donne aux poteries une surface douce, satinée. Dalloun s’est formé à cette technique, gardée longtemps secrète, grâce au belge Tjok Dessauvage. Il a mis plus de deux ans à arrêter la recette de son engobe, et la juste cuisson pour que le bol soit imperméable sans avoir été émaillé.
Boire dans de la soie
Les bols de Dalloun ont quelque chose de magique : ils se glissent au creux des mains, ils ont une forme libre et vivante. Sur cinquante bols tournés, le potier n’en conservera que la moitié. Derrière chaque bol, il y a un homme et une histoire. Par leur douceur, les bols de Dalloun lui ressemblent. Il cite comme compliment rare cette phrase d’une cliente qui l'a marqué : «Quand on boit dans tes bols, c’est comme si on buvait dans de la soie».
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue...
Voir plusRéduireDalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue.
La céramique, et en particulier la cuisson au feu
En observant des potiers tourner, Dalloun s’est immédiatement intéressé à la céramique : «J’ai trouvé ça assez fantastique, mettre une boule de terre sur un plateau, la façonner et en faire un bol, il y a un côté magique». Mais le feu l’attire encore plus. «Quand j’étais gamin, j’ai vécu dans une boulangerie où il y avait du pain qui cuisait dans un four à bois, c’est peut-être inconscient mais j’aime la cuisson». Dalloun décide alors d’aller à La Borne pour trouver un potier prêt à le former.
La terre sigillée, une technique rare
Parmi toutes les méthodes de céramique qu’il maîtrise, aujourd’hui Dalloun ne se consacre plus qu’à la terre sigillée, une technique rare qui date de l’Antiquité. Elle consiste à recouvrir une poterie non pas avec de l’émail, mais avec un engobe particulier. Cette couverte est réalisée avec de fines particules de terres que Dalloun sélectionne et récolte dans la forêt, sur des chemins ou encore dans les rivières. Après cuisson, la terre sigillée donne aux poteries une surface douce, satinée. Dalloun s’est formé à cette technique, gardée longtemps secrète, grâce au belge Tjok Dessauvage. Il a mis plus de deux ans à arrêter la recette de son engobe, et la juste cuisson pour que le bol soit imperméable sans avoir été émaillé.
Boire dans de la soie
Les bols de Dalloun ont quelque chose de magique : ils se glissent au creux des mains, ils ont une forme libre et vivante. Sur cinquante bols tournés, le potier n’en conservera que la moitié. Derrière chaque bol, il y a un homme et une histoire. Par leur douceur, les bols de Dalloun lui ressemblent. Il cite comme compliment rare cette phrase d’une cliente qui l'a marqué : «Quand on boit dans tes bols, c’est comme si on buvait dans de la soie».
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue...
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