Bol Eclipse
Le bol Eclipse est une création unique de Dalloun, céramiste depuis 38 ans. Ce bol aux tons chaleureux et profonds présente des motifs de lignes noires. Avec ce bol, l’artisan d’art transmet un message de simplicité : il a utilisé des méthodes traditionnelles datant de plus de 2000 ans. Dalloun a mis plus de deux ans à maîtriser ces techniques oubliées.
La couleur et la brillance du bol Eclipse sont obtenues par un engobe de terre sigillée. Rares sont les céramistes à maîtriser cette technique tombée en désuétude. Dalloun crée une terre liquide, en récoltant avec soin des terres de compositions diverses. Ici il a utilisé de la terre d'Auvergne. Le mélange de très fines particules de ces terres et d'eau crée un engobe, vitrifé pour que le bol devienne imperméable à la cuisson. Aucun colorant n’est utilisé : c’est le mélange de terres qui décide de la couleur.
Ce bol a été cuit au four à bois. La cuisson dure entre 8 et 12 heures. C’est une cuisson lente et à basse température, autour des 1000 degrés, une cuisson vivante. Les lignes noires sont des craquelures apparues à la cuisson. Elles suivent le sens du tournage. C’est la mémoire de la terre.
- Dimensions : diamètre11 cm, hauteur 7,5 cm
- Quantité : 0
Dalloun
Dalloun
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue.
La céramique, et en particulier la cuisson au feu
En observant des potiers tourner, Dalloun s’est immédiatement intéressé à la céramique : «J’ai trouvé ça assez fantastique, mettre une boule de terre sur un plateau, la façonner et en faire un bol, il y a un côté magique». Mais le feu l’attire encore plus. «Quand j’étais gamin, j’ai vécu dans une boulangerie où il y avait du pain qui cuisait dans un four à bois, c’est peut-être inconscient mais j’aime la cuisson». Dalloun décide alors d’aller à La Borne pour trouver un potier prêt à le former.
La terre sigillée, une technique rare
Parmi toutes les méthodes de céramique qu’il maîtrise, aujourd’hui Dalloun ne se consacre plus qu’à la terre sigillée, une technique rare qui date de l’Antiquité. Elle consiste à recouvrir une poterie non pas avec de l’émail, mais avec un engobe particulier. Cette couverte est réalisée avec de fines particules de terres que Dalloun sélectionne et récolte dans la forêt, sur des chemins ou encore dans les rivières. Après cuisson, la terre sigillée donne aux poteries une surface douce, satinée. Dalloun s’est formé à cette technique, gardée longtemps secrète, grâce au belge Tjok Dessauvage. Il a mis plus de deux ans à arrêter la recette de son engobe, et la juste cuisson pour que le bol soit imperméable sans avoir été émaillé.
Boire dans de la soie
Les bols de Dalloun ont quelque chose de magique : ils se glissent au creux des mains, ils ont une forme libre et vivante. Sur cinquante bols tournés, le potier n’en conservera que la moitié. Derrière chaque bol, il y a un homme et une histoire. Par leur douceur, les bols de Dalloun lui ressemblent. Il cite comme compliment rare cette phrase d’une cliente qui l'a marqué : «Quand on boit dans tes bols, c’est comme si on buvait dans de la soie».
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue...
Voir plusRéduireDalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue.
La céramique, et en particulier la cuisson au feu
En observant des potiers tourner, Dalloun s’est immédiatement intéressé à la céramique : «J’ai trouvé ça assez fantastique, mettre une boule de terre sur un plateau, la façonner et en faire un bol, il y a un côté magique». Mais le feu l’attire encore plus. «Quand j’étais gamin, j’ai vécu dans une boulangerie où il y avait du pain qui cuisait dans un four à bois, c’est peut-être inconscient mais j’aime la cuisson». Dalloun décide alors d’aller à La Borne pour trouver un potier prêt à le former.
La terre sigillée, une technique rare
Parmi toutes les méthodes de céramique qu’il maîtrise, aujourd’hui Dalloun ne se consacre plus qu’à la terre sigillée, une technique rare qui date de l’Antiquité. Elle consiste à recouvrir une poterie non pas avec de l’émail, mais avec un engobe particulier. Cette couverte est réalisée avec de fines particules de terres que Dalloun sélectionne et récolte dans la forêt, sur des chemins ou encore dans les rivières. Après cuisson, la terre sigillée donne aux poteries une surface douce, satinée. Dalloun s’est formé à cette technique, gardée longtemps secrète, grâce au belge Tjok Dessauvage. Il a mis plus de deux ans à arrêter la recette de son engobe, et la juste cuisson pour que le bol soit imperméable sans avoir été émaillé.
Boire dans de la soie
Les bols de Dalloun ont quelque chose de magique : ils se glissent au creux des mains, ils ont une forme libre et vivante. Sur cinquante bols tournés, le potier n’en conservera que la moitié. Derrière chaque bol, il y a un homme et une histoire. Par leur douceur, les bols de Dalloun lui ressemblent. Il cite comme compliment rare cette phrase d’une cliente qui l'a marqué : «Quand on boit dans tes bols, c’est comme si on buvait dans de la soie».
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue...
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La céramique, et en particulier la cuisson au feu
En observant des potiers tourner, Dalloun s’est immédiatement intéressé à la céramique : «J’ai trouvé ça assez fantastique, mettre une boule de terre sur un plateau, la façonner et en faire un bol, il y a un côté magique». Mais le feu l’attire encore plus. «Quand j’étais gamin, j’ai vécu dans une boulangerie où il y avait du pain qui cuisait dans un four à bois, c’est peut-être inconscient mais j’aime la cuisson». Dalloun décide alors d’aller à La Borne pour trouver un potier prêt à le former.
La terre sigillée, une technique rare
Parmi toutes les méthodes de céramique qu’il maîtrise, aujourd’hui Dalloun ne se consacre plus qu’à la terre sigillée, une technique rare qui date de l’Antiquité. Elle consiste à recouvrir une poterie non pas avec de l’émail, mais avec un engobe particulier. Cette couverte est réalisée avec de fines particules de terres que Dalloun sélectionne et récolte dans la forêt, sur des chemins ou encore dans les rivières. Après cuisson, la terre sigillée donne aux poteries une surface douce, satinée. Dalloun s’est formé à cette technique, gardée longtemps secrète, grâce au belge Tjok Dessauvage. Il a mis plus de deux ans à arrêter la recette de son engobe, et la juste cuisson pour que le bol soit imperméable sans avoir été émaillé.
Boire dans de la soie
Les bols de Dalloun ont quelque chose de magique : ils se glissent au creux des mains, ils ont une forme libre et vivante. Sur cinquante bols tournés, le potier n’en conservera que la moitié. Derrière chaque bol, il y a un homme et une histoire. Par leur douceur, les bols de Dalloun lui ressemblent. Il cite comme compliment rare cette phrase d’une cliente qui l'a marqué : «Quand on boit dans tes bols, c’est comme si on buvait dans de la soie».
Dalloun travaille la céramique depuis 38 ans. L’artisan s’est installé à La Borne près de Bourges, un village de potiers traditionnels. Dalloun travaille la terre depuis 38 ans. Après l'apprentissage du grès, et de nombreuses années passées à expérimenter les terres enfumées et le raku, il est devenu un des spécialistes de la terre sigillée, une technique rare et méconnue...
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