Boule montée en lampe
- Dimensions : 35Ø
- Quantité : 1
Olivier Fisbach
Olivier Fisbach
Après 25 ans de graphisme, Olivier Fisbach, qui ne voulait pas se cacher toute sa vie derrière son ordinateur, a choisi l’artisanat d’art. La terre s’est alors imposée d’elle-même et c’est dans la céramique qu’il a trouvé son plaisir. Aujourd’hui, il fait un travail qui le comble et qui ne dépend que de ses mains.
La céramique comme un refuge
Olivier Fisbach vit son métier comme quelque chose de très personnel. Pour lui, la céramique représente un refuge. Il a développé une relation très particulière avec la matière : « la céramique est une activité complètement absorbante. On se met vraiment entre parenthèses, comme si l’objet qu’on tournait nous contenait aussi ». Lorsqu’il tourne, puis qu’il émaille, l’artisan d’art ne recherche pas de résultat en particulier, il travaille en faisant en sorte d’être surpris par la matière : « c’est un échange de procédés, je me laisse vraiment guider par la matière, je la laisse évoluer selon les émaux et les cuissons ».
Confiance en ses mains
En 2008, Olivier Fisbach découvre la céramique et l’émaillage grâce à une formation professionnelle (il obtient d’ailleurs son CAP de tourneur en 2009). Mais le céramiste se considère aussi comme un autodidacte. En effet, « depuis 2009, j’évolue et je me forme chaque jour tout seul ». Aujourd’hui, il maîtrise parfaitement toutes les techniques traditionnelles de la céramique. Pour apporter un côté brut à ses pièces en grès, il utilise très régulièrement la cuisson au raku : « c’est la cuisson qui m’apporte le plus de surprises ». Pour le reste, ce sont la matière et l’état d’esprit dans lequel il se trouve qui le guident : « je fais confiance à mes mains ».
Après 25 ans de graphisme, Olivier Fisbach, qui ne voulait pas se cacher toute sa vie derrière son ordinateur, a choisi l’artisanat d’art. La terre s’est alors imposée d’elle-même et c’est dans la céramique qu’il a trouvé son plaisir. Aujourd’hui, il fait un travail qui le comble et qui ne dépend que de ses mains.
La céramique comme un refuge
Olivier Fisbach vit son métier comme quelque chose de très personnel...
Après 25 ans de graphisme, Olivier Fisbach, qui ne voulait pas se cacher toute sa vie derrière son ordinateur, a choisi l’artisanat d’art. La terre s’est alors imposée d’elle-même et c’est dans la céramique qu’il a trouvé son plaisir. Aujourd’hui, il fait un travail qui le comble et qui ne dépend que de ses mains.
La céramique comme un refuge
Olivier Fisbach vit son métier comme quelque chose de très personnel. Pour lui, la céramique représente un refuge. Il a développé une relation très particulière avec la matière : « la céramique est une activité complètement absorbante. On se met vraiment entre parenthèses, comme si l’objet qu’on tournait nous contenait aussi ». Lorsqu’il tourne, puis qu’il émaille, l’artisan d’art ne recherche pas de résultat en particulier, il travaille en faisant en sorte d’être surpris par la matière : « c’est un échange de procédés, je me laisse vraiment guider par la matière, je la laisse évoluer selon les émaux et les cuissons ».
Confiance en ses mains
En 2008, Olivier Fisbach découvre la céramique et l’émaillage grâce à une formation professionnelle (il obtient d’ailleurs son CAP de tourneur en 2009). Mais le céramiste se considère aussi comme un autodidacte. En effet, « depuis 2009, j’évolue et je me forme chaque jour tout seul ». Aujourd’hui, il maîtrise parfaitement toutes les techniques traditionnelles de la céramique. Pour apporter un côté brut à ses pièces en grès, il utilise très régulièrement la cuisson au raku : « c’est la cuisson qui m’apporte le plus de surprises ». Pour le reste, ce sont la matière et l’état d’esprit dans lequel il se trouve qui le guident : « je fais confiance à mes mains ».
Après 25 ans de graphisme, Olivier Fisbach, qui ne voulait pas se cacher toute sa vie derrière son ordinateur, a choisi l’artisanat d’art. La terre s’est alors imposée d’elle-même et c’est dans la céramique qu’il a trouvé son plaisir. Aujourd’hui, il fait un travail qui le comble et qui ne dépend que de ses mains.
La céramique comme un refuge
Olivier Fisbach vit son métier comme quelque chose de très personnel...
Après 25 ans de graphisme, Olivier Fisbach, qui ne voulait pas se cacher toute sa vie derrière son ordinateur, a choisi l’artisanat d’art. La terre s’est alors imposée d’elle-même et c’est dans la céramique qu’il a trouvé son plaisir. Aujourd’hui, il fait un travail qui le comble et qui ne dépend que de ses mains.
La céramique comme un refuge
Olivier Fisbach vit son métier comme quelque chose de très personnel. Pour lui, la céramique représente un refuge. Il a développé une relation très particulière avec la matière : « la céramique est une activité complètement absorbante. On se met vraiment entre parenthèses, comme si l’objet qu’on tournait nous contenait aussi ». Lorsqu’il tourne, puis qu’il émaille, l’artisan d’art ne recherche pas de résultat en particulier, il travaille en faisant en sorte d’être surpris par la matière : « c’est un échange de procédés, je me laisse vraiment guider par la matière, je la laisse évoluer selon les émaux et les cuissons ».
Confiance en ses mains
En 2008, Olivier Fisbach découvre la céramique et l’émaillage grâce à une formation professionnelle (il obtient d’ailleurs son CAP de tourneur en 2009). Mais le céramiste se considère aussi comme un autodidacte. En effet, « depuis 2009, j’évolue et je me forme chaque jour tout seul ». Aujourd’hui, il maîtrise parfaitement toutes les techniques traditionnelles de la céramique. Pour apporter un côté brut à ses pièces en grès, il utilise très régulièrement la cuisson au raku : « c’est la cuisson qui m’apporte le plus de surprises ». Pour le reste, ce sont la matière et l’état d’esprit dans lequel il se trouve qui le guident : « je fais confiance à mes mains ».
Après 25 ans de graphisme, Olivier Fisbach, qui ne voulait pas se cacher toute sa vie derrière son ordinateur, a choisi l’artisanat d’art. La terre s’est alors imposée d’elle-même et c’est dans la céramique qu’il a trouvé son plaisir. Aujourd’hui, il fait un travail qui le comble et qui ne dépend que de ses mains.
La céramique comme un refuge
Olivier Fisbach vit son métier comme quelque chose de très personnel...