Bracelet jonc 3 écailles plaqué Or - premier modèle-
Mehdi Harzallaoui aime profondément le travail de la matière. Au sein du métal, il souhaite retranscrire des matières organiques. Ici, il a voulu représenter l’écaille de crocodile. Il sort ce fragment de matière de son contexte et le reproduit en un motif en le transformant en un élément pour en faire un bijou unique.
Ici, les écailles sont réalisées grâce à la technique traditionnelle de la fonte à la cire perdue. Le ciseleur reproduit tout d’abord, grâce aux techniques de la ciselure, une écaille de crocodile. Il repousse la matière et crée des lignes fines et délicates. A partir de cette maquette, il peut tirer plusieurs exemplaires dits bruts de fonte en laiton.
Mehdi Harzallaoui assemble ensuite les écailles et les soude sur un jonc en laiton réalisé à la main, l’ensemble est ensuite plaqué à l’Or fin.
Taille unique ajustable. Peut être réalisée sur mesure (par commande).
- Dimensions : largeur 1,7 cm
- Quantité : 1
Mehdi Harzallaoui
Mehdi Harzallaoui
Si aujourd’hui Mehdi Harzallaoui crée des pièces aussi belles, c’est grâce à son savoir-faire exceptionnel d’artisan d’art ciseleur. Un savoir-faire qu’il a su acquérir seul, à force de travail, d’acharnement et d’exigence. Cet autodidacte fait désormais partie des rares et talentueux ciseleurs français.
La ciselure, un savoir-faire rare
Chaque jour, dans son atelier, Mehdi Harzallaoui tape minutieusement avec son marteau sur ses ciselets, des outils en acier aux formes et aux tailles différentes, pour marquer le métal et, surtout le sublimer de motifs fins et délicats. Pour créer ses formes, le ciseleur n’enlèvent pas un seul gramme de métal, il repousse la matière pour lui donner un volume et lui apporter des détails.
Une reconversion a 25 ans
Ce savoir-faire rare, Mehdi Harzallaoui ne le maîtrise pas grâce à une formation spécialisée, mais grâce à sa propre volonté. A 25 ans, après plusieurs années à travailler dans le domaine de l’informatique, il décide de se tourner vers l’artisanat d’art. Tout d’abord, il aide un de ses amis diplômé de l’école Boulle en section ciselure à monter un atelier et à trouver une clientèle. Il est alors en contact avec les bronziers, les antiquaires ou les collectionneurs d’art. Puis son ami-collègue décide de partir. Mehdi a le choix : retourner dans le monde de l’informatique ou rester dans le monde des métiers d’art…
Un autodidacte pour un niveau d’excellence
Mehdi Harzallaoui choisit les métiers d’art. A force de patience et de volonté, il se forme seul au métier de ciseleur. Ses clients, notamment des collectionneurs d’armes orientales, lui font toujours confiance. Le monde du luxe fait aussi appel à lui : il réalise des boucles de ceintures ou des initiales en argent repoussé pour la marque Berluti, il crée aussi un crocodile en bronze pour ornementer un coffret prestige de cognac Hennessy, qui lui servira d’inspiration pour ses propres collections. Car aujourd’hui, Mehdi Harzallaoui a atteint un niveau de ciselure si proche de l’excellence, qu’il peut maintenant proposer des pièces plus personnelles.
Si aujourd’hui Mehdi Harzallaoui crée des pièces aussi belles, c’est grâce à son savoir-faire exceptionnel d’artisan d’art ciseleur. Un savoir-faire qu’il a su acquérir seul, à force de travail, d’acharnement et d’exigence. Cet autodidacte fait désormais partie des rares et talentueux ciseleurs français...
Voir plusRéduireSi aujourd’hui Mehdi Harzallaoui crée des pièces aussi belles, c’est grâce à son savoir-faire exceptionnel d’artisan d’art ciseleur. Un savoir-faire qu’il a su acquérir seul, à force de travail, d’acharnement et d’exigence. Cet autodidacte fait désormais partie des rares et talentueux ciseleurs français.
La ciselure, un savoir-faire rare
Chaque jour, dans son atelier, Mehdi Harzallaoui tape minutieusement avec son marteau sur ses ciselets, des outils en acier aux formes et aux tailles différentes, pour marquer le métal et, surtout le sublimer de motifs fins et délicats. Pour créer ses formes, le ciseleur n’enlèvent pas un seul gramme de métal, il repousse la matière pour lui donner un volume et lui apporter des détails.
Une reconversion a 25 ans
Ce savoir-faire rare, Mehdi Harzallaoui ne le maîtrise pas grâce à une formation spécialisée, mais grâce à sa propre volonté. A 25 ans, après plusieurs années à travailler dans le domaine de l’informatique, il décide de se tourner vers l’artisanat d’art. Tout d’abord, il aide un de ses amis diplômé de l’école Boulle en section ciselure à monter un atelier et à trouver une clientèle. Il est alors en contact avec les bronziers, les antiquaires ou les collectionneurs d’art. Puis son ami-collègue décide de partir. Mehdi a le choix : retourner dans le monde de l’informatique ou rester dans le monde des métiers d’art…
Un autodidacte pour un niveau d’excellence
Mehdi Harzallaoui choisit les métiers d’art. A force de patience et de volonté, il se forme seul au métier de ciseleur. Ses clients, notamment des collectionneurs d’armes orientales, lui font toujours confiance. Le monde du luxe fait aussi appel à lui : il réalise des boucles de ceintures ou des initiales en argent repoussé pour la marque Berluti, il crée aussi un crocodile en bronze pour ornementer un coffret prestige de cognac Hennessy, qui lui servira d’inspiration pour ses propres collections. Car aujourd’hui, Mehdi Harzallaoui a atteint un niveau de ciselure si proche de l’excellence, qu’il peut maintenant proposer des pièces plus personnelles.
Si aujourd’hui Mehdi Harzallaoui crée des pièces aussi belles, c’est grâce à son savoir-faire exceptionnel d’artisan d’art ciseleur. Un savoir-faire qu’il a su acquérir seul, à force de travail, d’acharnement et d’exigence. Cet autodidacte fait désormais partie des rares et talentueux ciseleurs français...
Voir plusRéduireSi aujourd’hui Mehdi Harzallaoui crée des pièces aussi belles, c’est grâce à son savoir-faire exceptionnel d’artisan d’art ciseleur. Un savoir-faire qu’il a su acquérir seul, à force de travail, d’acharnement et d’exigence. Cet autodidacte fait désormais partie des rares et talentueux ciseleurs français.
La ciselure, un savoir-faire rare
Chaque jour, dans son atelier, Mehdi Harzallaoui tape minutieusement avec son marteau sur ses ciselets, des outils en acier aux formes et aux tailles différentes, pour marquer le métal et, surtout le sublimer de motifs fins et délicats. Pour créer ses formes, le ciseleur n’enlèvent pas un seul gramme de métal, il repousse la matière pour lui donner un volume et lui apporter des détails.
Une reconversion a 25 ans
Ce savoir-faire rare, Mehdi Harzallaoui ne le maîtrise pas grâce à une formation spécialisée, mais grâce à sa propre volonté. A 25 ans, après plusieurs années à travailler dans le domaine de l’informatique, il décide de se tourner vers l’artisanat d’art. Tout d’abord, il aide un de ses amis diplômé de l’école Boulle en section ciselure à monter un atelier et à trouver une clientèle. Il est alors en contact avec les bronziers, les antiquaires ou les collectionneurs d’art. Puis son ami-collègue décide de partir. Mehdi a le choix : retourner dans le monde de l’informatique ou rester dans le monde des métiers d’art…
Un autodidacte pour un niveau d’excellence
Mehdi Harzallaoui choisit les métiers d’art. A force de patience et de volonté, il se forme seul au métier de ciseleur. Ses clients, notamment des collectionneurs d’armes orientales, lui font toujours confiance. Le monde du luxe fait aussi appel à lui : il réalise des boucles de ceintures ou des initiales en argent repoussé pour la marque Berluti, il crée aussi un crocodile en bronze pour ornementer un coffret prestige de cognac Hennessy, qui lui servira d’inspiration pour ses propres collections. Car aujourd’hui, Mehdi Harzallaoui a atteint un niveau de ciselure si proche de l’excellence, qu’il peut maintenant proposer des pièces plus personnelles.
Si aujourd’hui Mehdi Harzallaoui crée des pièces aussi belles, c’est grâce à son savoir-faire exceptionnel d’artisan d’art ciseleur. Un savoir-faire qu’il a su acquérir seul, à force de travail, d’acharnement et d’exigence. Cet autodidacte fait désormais partie des rares et talentueux ciseleurs français...
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