Cadre bleu
Ce cadre flamboyant en bois et marqueterie de paille a été conçu pour un miroir, et non pour encadrer une image : les motifs du cadre constituent pour Sabine Machabert une œuvre à part entière.
La marqueteuse de paille a fait réaliser le cadre de bois par un menuisier. Elle l’a voulu bombé, pour jouer avec la brillance et les reflets de la paille de seigle. Elle a ensuite conçu ses motifs sur un jeu de trois couleurs vives : orange-marron et bleu, couleurs complémentaires, se répondent autour de la teinte naturelle du seigle. Un à un, chaque fétu a été fendu à l’ongle, écrasé au plioir, puis plaqué et taillé au scalpel sur le cadre. Aucun vernis n’a été appliqué sur la paille, qui tire son éclat naturel de la silice puisée dans le sol où a poussé le seigle.
Ce cadre n’existe qu’en un seul exemplaire, mais peut être réalisé à nouveau sur commande.
- Dimensions : Dimensions extérieures 33 x 39 cm, intérieures 17 x 23 cm
- Quantité : 1
Sabine Machabert
Sabine Machabert
Il y a 7 ans, Sabine Machabert découvre dans un reportage télévisé un métier d’art peu connu : la marqueterie de paille. Depuis, à force de persévérance, elle en a fait son métier, et compte maintenant parmi la vingtaine de marqueteurs de paille qui exercent en France.
Du bois à la paille
Sabine Machabert «habille des objets avec de la paille de seigle». C’est la marqueterie de paille, un métier où l’on compose des merveilles avec des éléments de base pourtant simples : «mes seuls outils sont le scalpel, le plioir en os, le pinceau à colle et mes 10 doigts». La particularité de Sabine Machabert, c’est qu’elle travaille surtout des objets en bois : elle vient d’une famille de menuisiers.
Issue d’un milieu qui conjugue artisanat et artisanat d’art, Sabine Machabert se forme aux Beaux Arts, pourtant elle reste longtemps sans passer à la pratique. «En réalité, je crois que je n’avais jamais exercé dans le domaine artistique parce que je n’avais pas encore trouvé ma matière».
A l’école de la matière
Après avoir découvert la marqueterie, Sabine Machabert se renseigne, achète de la paille pour essayer la technique. Pendant des années, elle se forme seule, en autodidacte. Lorsqu’elle se reconnaît assez de maîtrise, elle se lance : «j’ai commencé par reproduire ce que je voyais, puis j’ai voulu réaliser ce que j’avais dans la tête, mes propres créations». Pari réussi pour la marqueteuse qui a collaboré avec, entre autres, la maison d’éventails Duvelleroy, et propose aujourd’hui ses propres pièces, toutes marquetées sur bois, d’inspiration Art Déco ou ethnique.
Après quelques années à Berlin, Sabine Machabert, de retour en France, aimerait dessiner ses propres supports en bois, et les faire réaliser par son frère, menuisier. Une marqueteuse de paille prometteuse, qui marie avec talent le seigle et le bois.
Il y a 7 ans, Sabine Machabert découvre dans un reportage télévisé un métier d’art peu connu : la marqueterie de paille. Depuis, à force de persévérance, elle en a fait son métier, et compte maintenant parmi la vingtaine de marqueteurs de paille qui exercent en France.
Du bois à la paille
Sabine Machabert «habille des objets avec de la paille de seigle»...
Il y a 7 ans, Sabine Machabert découvre dans un reportage télévisé un métier d’art peu connu : la marqueterie de paille. Depuis, à force de persévérance, elle en a fait son métier, et compte maintenant parmi la vingtaine de marqueteurs de paille qui exercent en France.
Du bois à la paille
Sabine Machabert «habille des objets avec de la paille de seigle». C’est la marqueterie de paille, un métier où l’on compose des merveilles avec des éléments de base pourtant simples : «mes seuls outils sont le scalpel, le plioir en os, le pinceau à colle et mes 10 doigts». La particularité de Sabine Machabert, c’est qu’elle travaille surtout des objets en bois : elle vient d’une famille de menuisiers.
Issue d’un milieu qui conjugue artisanat et artisanat d’art, Sabine Machabert se forme aux Beaux Arts, pourtant elle reste longtemps sans passer à la pratique. «En réalité, je crois que je n’avais jamais exercé dans le domaine artistique parce que je n’avais pas encore trouvé ma matière».
A l’école de la matière
Après avoir découvert la marqueterie, Sabine Machabert se renseigne, achète de la paille pour essayer la technique. Pendant des années, elle se forme seule, en autodidacte. Lorsqu’elle se reconnaît assez de maîtrise, elle se lance : «j’ai commencé par reproduire ce que je voyais, puis j’ai voulu réaliser ce que j’avais dans la tête, mes propres créations». Pari réussi pour la marqueteuse qui a collaboré avec, entre autres, la maison d’éventails Duvelleroy, et propose aujourd’hui ses propres pièces, toutes marquetées sur bois, d’inspiration Art Déco ou ethnique.
Après quelques années à Berlin, Sabine Machabert, de retour en France, aimerait dessiner ses propres supports en bois, et les faire réaliser par son frère, menuisier. Une marqueteuse de paille prometteuse, qui marie avec talent le seigle et le bois.
Il y a 7 ans, Sabine Machabert découvre dans un reportage télévisé un métier d’art peu connu : la marqueterie de paille. Depuis, à force de persévérance, elle en a fait son métier, et compte maintenant parmi la vingtaine de marqueteurs de paille qui exercent en France.
Du bois à la paille
Sabine Machabert «habille des objets avec de la paille de seigle»...
Il y a 7 ans, Sabine Machabert découvre dans un reportage télévisé un métier d’art peu connu : la marqueterie de paille. Depuis, à force de persévérance, elle en a fait son métier, et compte maintenant parmi la vingtaine de marqueteurs de paille qui exercent en France.
Du bois à la paille
Sabine Machabert «habille des objets avec de la paille de seigle». C’est la marqueterie de paille, un métier où l’on compose des merveilles avec des éléments de base pourtant simples : «mes seuls outils sont le scalpel, le plioir en os, le pinceau à colle et mes 10 doigts». La particularité de Sabine Machabert, c’est qu’elle travaille surtout des objets en bois : elle vient d’une famille de menuisiers.
Issue d’un milieu qui conjugue artisanat et artisanat d’art, Sabine Machabert se forme aux Beaux Arts, pourtant elle reste longtemps sans passer à la pratique. «En réalité, je crois que je n’avais jamais exercé dans le domaine artistique parce que je n’avais pas encore trouvé ma matière».
A l’école de la matière
Après avoir découvert la marqueterie, Sabine Machabert se renseigne, achète de la paille pour essayer la technique. Pendant des années, elle se forme seule, en autodidacte. Lorsqu’elle se reconnaît assez de maîtrise, elle se lance : «j’ai commencé par reproduire ce que je voyais, puis j’ai voulu réaliser ce que j’avais dans la tête, mes propres créations». Pari réussi pour la marqueteuse qui a collaboré avec, entre autres, la maison d’éventails Duvelleroy, et propose aujourd’hui ses propres pièces, toutes marquetées sur bois, d’inspiration Art Déco ou ethnique.
Après quelques années à Berlin, Sabine Machabert, de retour en France, aimerait dessiner ses propres supports en bois, et les faire réaliser par son frère, menuisier. Une marqueteuse de paille prometteuse, qui marie avec talent le seigle et le bois.
Il y a 7 ans, Sabine Machabert découvre dans un reportage télévisé un métier d’art peu connu : la marqueterie de paille. Depuis, à force de persévérance, elle en a fait son métier, et compte maintenant parmi la vingtaine de marqueteurs de paille qui exercent en France.
Du bois à la paille
Sabine Machabert «habille des objets avec de la paille de seigle»...