Chawan
Deux émailles Cuit en anagama four et récuit en four au gaz.
- Dimensions : 8,5 x 13 cm
- Quantité : 1
Marie Anne Ver Eecke
Marie Anne Ver Eecke
Cela fait plus de 20 ans que Marie-Anne Ver Eecke est céramiste. La petite fille qui jouait dans l’atelier d’un céramiste belge de renom étant enfant a fait son chemin. Elle a trouvé ses fondamentaux avec des objets aux lignes pures où l’émaillage est très travaillé. Elle continue à se former auprès de céramistes dont elle admire le travail, «parce qu’on n’a jamais fini d’apprendre».
Une enfance marquée par le céramiste Rogier Vandeweghe
Enfant, Marie-Anne Ver Eecke jouait avec les enfants de Rogier Vandeweghe, céramiste belge qui a participé au renouveau de la céramique contemporaine en Flandre à partir des années 1950. Marie-Anne Ver Eecke grandit, rencontre d’autres céramistes, décide de se former.
Elle se souvient des pièces exposées dans la galerie…
A sa première exposition, Rogier Vandeweghe achète deux bols : un honneur.
Des objets aux lignes simples, aux glaçures travaillées
Marie-Anne Ver Eecke enchaîne les ateliers et masterclass auprès de maîtres en la matière : la diversité des techniques la passionne. Au tour, elle aime créer des formes simples, pour se concentrer sur l’émaillage et la cuisson. Elle en vient naturellement à travailler le chawan, ce bol à thé utilisé dans la cérémonie du thé matcha au Japon : «c’est la simplicité de ces objets qui fait toute leur beauté». Elle participe à des expositions spécialisées de Chawan à Taiwan, à Singapour, aux Etats Unis, et en Belgique.
«On n’a jamais fini d’apprendre»
Parmi ses plus belles découvertes comme céramiste, Marie-Anne Ver Eecke évoque les «lichtobjecten». Pour ses nouveaux défis, elle cite le travail de la céramique au moule ou à la plaque, qui permet d’explorer des formes plus libres qu’au tour. Et toujours les émaux. Après 20 ans de métier, elle n’a pas fini d’explorer toute la richesse de sa discipline : encore de belles découvertes à venir.
Cela fait plus de 20 ans que Marie-Anne Ver Eecke est céramiste. La petite fille qui jouait dans l’atelier d’un céramiste belge de renom étant enfant a fait son chemin. Elle a trouvé ses fondamentaux avec des objets aux lignes pures où l’émaillage est très travaillé. Elle continue à se former auprès de céramistes dont elle admire le travail, «parce qu’on n’a jamais fini d’apprendre»...
Voir plusRéduireCela fait plus de 20 ans que Marie-Anne Ver Eecke est céramiste. La petite fille qui jouait dans l’atelier d’un céramiste belge de renom étant enfant a fait son chemin. Elle a trouvé ses fondamentaux avec des objets aux lignes pures où l’émaillage est très travaillé. Elle continue à se former auprès de céramistes dont elle admire le travail, «parce qu’on n’a jamais fini d’apprendre».
Une enfance marquée par le céramiste Rogier Vandeweghe
Enfant, Marie-Anne Ver Eecke jouait avec les enfants de Rogier Vandeweghe, céramiste belge qui a participé au renouveau de la céramique contemporaine en Flandre à partir des années 1950. Marie-Anne Ver Eecke grandit, rencontre d’autres céramistes, décide de se former.
Elle se souvient des pièces exposées dans la galerie…
A sa première exposition, Rogier Vandeweghe achète deux bols : un honneur.
Des objets aux lignes simples, aux glaçures travaillées
Marie-Anne Ver Eecke enchaîne les ateliers et masterclass auprès de maîtres en la matière : la diversité des techniques la passionne. Au tour, elle aime créer des formes simples, pour se concentrer sur l’émaillage et la cuisson. Elle en vient naturellement à travailler le chawan, ce bol à thé utilisé dans la cérémonie du thé matcha au Japon : «c’est la simplicité de ces objets qui fait toute leur beauté». Elle participe à des expositions spécialisées de Chawan à Taiwan, à Singapour, aux Etats Unis, et en Belgique.
«On n’a jamais fini d’apprendre»
Parmi ses plus belles découvertes comme céramiste, Marie-Anne Ver Eecke évoque les «lichtobjecten». Pour ses nouveaux défis, elle cite le travail de la céramique au moule ou à la plaque, qui permet d’explorer des formes plus libres qu’au tour. Et toujours les émaux. Après 20 ans de métier, elle n’a pas fini d’explorer toute la richesse de sa discipline : encore de belles découvertes à venir.
Cela fait plus de 20 ans que Marie-Anne Ver Eecke est céramiste. La petite fille qui jouait dans l’atelier d’un céramiste belge de renom étant enfant a fait son chemin. Elle a trouvé ses fondamentaux avec des objets aux lignes pures où l’émaillage est très travaillé. Elle continue à se former auprès de céramistes dont elle admire le travail, «parce qu’on n’a jamais fini d’apprendre»...
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Une enfance marquée par le céramiste Rogier Vandeweghe
Enfant, Marie-Anne Ver Eecke jouait avec les enfants de Rogier Vandeweghe, céramiste belge qui a participé au renouveau de la céramique contemporaine en Flandre à partir des années 1950. Marie-Anne Ver Eecke grandit, rencontre d’autres céramistes, décide de se former.
Elle se souvient des pièces exposées dans la galerie…
A sa première exposition, Rogier Vandeweghe achète deux bols : un honneur.
Des objets aux lignes simples, aux glaçures travaillées
Marie-Anne Ver Eecke enchaîne les ateliers et masterclass auprès de maîtres en la matière : la diversité des techniques la passionne. Au tour, elle aime créer des formes simples, pour se concentrer sur l’émaillage et la cuisson. Elle en vient naturellement à travailler le chawan, ce bol à thé utilisé dans la cérémonie du thé matcha au Japon : «c’est la simplicité de ces objets qui fait toute leur beauté». Elle participe à des expositions spécialisées de Chawan à Taiwan, à Singapour, aux Etats Unis, et en Belgique.
«On n’a jamais fini d’apprendre»
Parmi ses plus belles découvertes comme céramiste, Marie-Anne Ver Eecke évoque les «lichtobjecten». Pour ses nouveaux défis, elle cite le travail de la céramique au moule ou à la plaque, qui permet d’explorer des formes plus libres qu’au tour. Et toujours les émaux. Après 20 ans de métier, elle n’a pas fini d’explorer toute la richesse de sa discipline : encore de belles découvertes à venir.
Cela fait plus de 20 ans que Marie-Anne Ver Eecke est céramiste. La petite fille qui jouait dans l’atelier d’un céramiste belge de renom étant enfant a fait son chemin. Elle a trouvé ses fondamentaux avec des objets aux lignes pures où l’émaillage est très travaillé. Elle continue à se former auprès de céramistes dont elle admire le travail, «parce qu’on n’a jamais fini d’apprendre»...
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