Collier "Amulette"
La bijoutière Philomène Thebault avait envie de créer un bijou qui lui ressemble, une pièce faite pour elle. Passionnée de bijoux anciens, elle a imaginé ce collier amulette, inspiré des fibules, ces broches que l’on portait de l’époque gallo-romaine au Moyen-Âge pour fermer les vêtements.
La joaillière a opté pour une découpe nette de l’argent à la scie, qui s’accorde avec le dessin géométrique et régulier de l’amulette. Les formes sont conçues pour faire ressortir l’éclat et la pureté de la citrine, un quartz jaune semi-précieux trouvé dans un salon des minéraux en Alsace.
La bijoutière a porté un soin particulier à la bélière, l’accroche du pendentif sur le collier. Deux pièces en argent viennent se chevaucher en équerre pour assurer à l’amulette un tombé parfait.
- Dimensions : Poids: 10 g, Longueur de la chaîne: 43 cm, Hauteur pendentif: 4,5 cm
- Quantité : 5
Philomène Thebault
Philomène Thebault
Philomène Thebault a installé son atelier de joaillerie dans son appartement parisien, «un petit cocon» dans lequel elle se sent bien. C’est sur un établi en bois de chêne, acheté chez un brocanteur parisien, qu’elle fabrique ses bijoux. Chaque jour, elle dessine de nouvelles formes, travaille l’argent, sertit des pierres qu’elle va parfois chercher à l’autre bout du monde. Inde, Danemark, Indonésie, Thaïlande ou Angleterre, Philomène voyage beaucoup, et l’influence de ses nombreuses destinations ressort dans ses créations.
Des bijoux à la fois contemporains et intemporels
Pour Philomène, pas question d’exercer un autre métier, «déjà toute petite, je faisais pleins de choses avec des perles». Sa mère, qui s’intéresse aux bijoux anciens, lui transmet le goût des beaux objets. L’enfance de l’art, en quelque sorte. Aujourd’hui, puisant dans ses souvenirs et dans ses voyages, elle crée des bijoux géométriques, qu’elle veut à la fois contemporains et intemporels. «Mes bijoux doivent pouvoir se transmettre de génération en génération».
Une inspiration glanée au fil de ses voyages
Après une formation de 4 ans à l'école de joaillerie BJO à Paris, Philomène part apprendre de nouvelles techniques autour du monde, et enrichit sa palette d’inspiration personnelle. La joaillière se nourrit de ce qu’elle croise chaque jour pour créer ses bijoux, des couleurs éblouissantes découvertes en Inde aux balcons de fer forgé parisiens, en passant par l’architecture danoise : «mes sources d’inspiration, c’est tout ce que je vois, les formes, les couleurs, les pierres». Tout est dans sa tête. Quand une pierre accroche son regard, l’imagination et la mémoire travaillent de concert pour créer la forme adéquate. Et là, sur son établi, elle n’a plus qu’à l’exécuter.
Contactez Philomène pour toute demande de sur-mesure ou de bijou personnalisé. Elle se fera une joie de vous répondre.
Philomène Thebault a installé son atelier de joaillerie dans son appartement parisien, «un petit cocon» dans lequel elle se sent bien. C’est sur un établi en bois de chêne, acheté chez un brocanteur parisien, qu’elle fabrique ses bijoux. Chaque jour, elle dessine de nouvelles formes, travaille l’argent, sertit des pierres qu’elle va parfois chercher à l’autre bout du monde...
Voir plusRéduirePhilomène Thebault a installé son atelier de joaillerie dans son appartement parisien, «un petit cocon» dans lequel elle se sent bien. C’est sur un établi en bois de chêne, acheté chez un brocanteur parisien, qu’elle fabrique ses bijoux. Chaque jour, elle dessine de nouvelles formes, travaille l’argent, sertit des pierres qu’elle va parfois chercher à l’autre bout du monde. Inde, Danemark, Indonésie, Thaïlande ou Angleterre, Philomène voyage beaucoup, et l’influence de ses nombreuses destinations ressort dans ses créations.
Des bijoux à la fois contemporains et intemporels
Pour Philomène, pas question d’exercer un autre métier, «déjà toute petite, je faisais pleins de choses avec des perles». Sa mère, qui s’intéresse aux bijoux anciens, lui transmet le goût des beaux objets. L’enfance de l’art, en quelque sorte. Aujourd’hui, puisant dans ses souvenirs et dans ses voyages, elle crée des bijoux géométriques, qu’elle veut à la fois contemporains et intemporels. «Mes bijoux doivent pouvoir se transmettre de génération en génération».
Une inspiration glanée au fil de ses voyages
Après une formation de 4 ans à l'école de joaillerie BJO à Paris, Philomène part apprendre de nouvelles techniques autour du monde, et enrichit sa palette d’inspiration personnelle. La joaillière se nourrit de ce qu’elle croise chaque jour pour créer ses bijoux, des couleurs éblouissantes découvertes en Inde aux balcons de fer forgé parisiens, en passant par l’architecture danoise : «mes sources d’inspiration, c’est tout ce que je vois, les formes, les couleurs, les pierres». Tout est dans sa tête. Quand une pierre accroche son regard, l’imagination et la mémoire travaillent de concert pour créer la forme adéquate. Et là, sur son établi, elle n’a plus qu’à l’exécuter.
Contactez Philomène pour toute demande de sur-mesure ou de bijou personnalisé. Elle se fera une joie de vous répondre.
Philomène Thebault a installé son atelier de joaillerie dans son appartement parisien, «un petit cocon» dans lequel elle se sent bien. C’est sur un établi en bois de chêne, acheté chez un brocanteur parisien, qu’elle fabrique ses bijoux. Chaque jour, elle dessine de nouvelles formes, travaille l’argent, sertit des pierres qu’elle va parfois chercher à l’autre bout du monde...
Voir plusRéduirePhilomène Thebault a installé son atelier de joaillerie dans son appartement parisien, «un petit cocon» dans lequel elle se sent bien. C’est sur un établi en bois de chêne, acheté chez un brocanteur parisien, qu’elle fabrique ses bijoux. Chaque jour, elle dessine de nouvelles formes, travaille l’argent, sertit des pierres qu’elle va parfois chercher à l’autre bout du monde. Inde, Danemark, Indonésie, Thaïlande ou Angleterre, Philomène voyage beaucoup, et l’influence de ses nombreuses destinations ressort dans ses créations.
Des bijoux à la fois contemporains et intemporels
Pour Philomène, pas question d’exercer un autre métier, «déjà toute petite, je faisais pleins de choses avec des perles». Sa mère, qui s’intéresse aux bijoux anciens, lui transmet le goût des beaux objets. L’enfance de l’art, en quelque sorte. Aujourd’hui, puisant dans ses souvenirs et dans ses voyages, elle crée des bijoux géométriques, qu’elle veut à la fois contemporains et intemporels. «Mes bijoux doivent pouvoir se transmettre de génération en génération».
Une inspiration glanée au fil de ses voyages
Après une formation de 4 ans à l'école de joaillerie BJO à Paris, Philomène part apprendre de nouvelles techniques autour du monde, et enrichit sa palette d’inspiration personnelle. La joaillière se nourrit de ce qu’elle croise chaque jour pour créer ses bijoux, des couleurs éblouissantes découvertes en Inde aux balcons de fer forgé parisiens, en passant par l’architecture danoise : «mes sources d’inspiration, c’est tout ce que je vois, les formes, les couleurs, les pierres». Tout est dans sa tête. Quand une pierre accroche son regard, l’imagination et la mémoire travaillent de concert pour créer la forme adéquate. Et là, sur son établi, elle n’a plus qu’à l’exécuter.
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Philomène Thebault a installé son atelier de joaillerie dans son appartement parisien, «un petit cocon» dans lequel elle se sent bien. C’est sur un établi en bois de chêne, acheté chez un brocanteur parisien, qu’elle fabrique ses bijoux. Chaque jour, elle dessine de nouvelles formes, travaille l’argent, sertit des pierres qu’elle va parfois chercher à l’autre bout du monde...
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