"Linéaire" - Jonc paille bleu nuit
- Dimensions : 8mm
- Quantité : 1
Célia Suzanne
Célia Suzanne
Célia Suzanne se destinait à travailler dans une des filières des Arts Appliqués mais considérait qu’elle n’était pas assez en contact avec la matière. Elle s’est alors tournée vers un artisanat rare : la marqueterie de paille.
Amoureuse de la matière
Amoureuse de la matière, Célia Suzanne s'intéresse à de nombreuses matières : bois, métal, corne et même écailles de tortue. Mais c’est vers la paille qu’elle se dirige finalement, une matière qui se marie parfaitement avec le bois et l’or, d’autres matières qu’elle aime exploiter et qu’elle introduit dans certaines de ses pièces. Malgré son jeune âge, l’artisane d’art a fait de nombreuses rencontres, dont une avec la Maison Horlogère Vacheron Constantin, à Genève, qui lui a permis de révéler son savoir-faire.
Amener de nouveaux savoir-faire
Durant sa formation à la prestigieuse Ecole Boulle, Célia Suzanne est amenée à découvrir de nouvelles techniques et de nouvelles matières. Elle travaille parfois des matières éloignées de celles qu’on utilise traditionnellement en marqueterie comme les émaux et la dorure. Selon elle, « les métiers d’art auront tendance à s’appauvrir petit-à-petit s’ils restent simplement dans leur aspect traditionnel ». C’est pour cela qu’elle a pour objectif d’amener de nouveaux savoir-faire dans sa propre discipline.
Célia Suzanne se destinait à travailler dans une des filières des Arts Appliqués mais considérait qu’elle n’était pas assez en contact avec la matière. Elle s’est alors tournée vers un artisanat rare : la marqueterie de paille.
Amoureuse de la matière
Amoureuse de la matière, Célia Suzanne s'intéresse à de nombreuses matières : bois, métal, corne et même écailles de tortue...
Célia Suzanne se destinait à travailler dans une des filières des Arts Appliqués mais considérait qu’elle n’était pas assez en contact avec la matière. Elle s’est alors tournée vers un artisanat rare : la marqueterie de paille.
Amoureuse de la matière
Amoureuse de la matière, Célia Suzanne s'intéresse à de nombreuses matières : bois, métal, corne et même écailles de tortue. Mais c’est vers la paille qu’elle se dirige finalement, une matière qui se marie parfaitement avec le bois et l’or, d’autres matières qu’elle aime exploiter et qu’elle introduit dans certaines de ses pièces. Malgré son jeune âge, l’artisane d’art a fait de nombreuses rencontres, dont une avec la Maison Horlogère Vacheron Constantin, à Genève, qui lui a permis de révéler son savoir-faire.
Amener de nouveaux savoir-faire
Durant sa formation à la prestigieuse Ecole Boulle, Célia Suzanne est amenée à découvrir de nouvelles techniques et de nouvelles matières. Elle travaille parfois des matières éloignées de celles qu’on utilise traditionnellement en marqueterie comme les émaux et la dorure. Selon elle, « les métiers d’art auront tendance à s’appauvrir petit-à-petit s’ils restent simplement dans leur aspect traditionnel ». C’est pour cela qu’elle a pour objectif d’amener de nouveaux savoir-faire dans sa propre discipline.
Célia Suzanne se destinait à travailler dans une des filières des Arts Appliqués mais considérait qu’elle n’était pas assez en contact avec la matière. Elle s’est alors tournée vers un artisanat rare : la marqueterie de paille.
Amoureuse de la matière
Amoureuse de la matière, Célia Suzanne s'intéresse à de nombreuses matières : bois, métal, corne et même écailles de tortue...
Célia Suzanne se destinait à travailler dans une des filières des Arts Appliqués mais considérait qu’elle n’était pas assez en contact avec la matière. Elle s’est alors tournée vers un artisanat rare : la marqueterie de paille.
Amoureuse de la matière
Amoureuse de la matière, Célia Suzanne s'intéresse à de nombreuses matières : bois, métal, corne et même écailles de tortue. Mais c’est vers la paille qu’elle se dirige finalement, une matière qui se marie parfaitement avec le bois et l’or, d’autres matières qu’elle aime exploiter et qu’elle introduit dans certaines de ses pièces. Malgré son jeune âge, l’artisane d’art a fait de nombreuses rencontres, dont une avec la Maison Horlogère Vacheron Constantin, à Genève, qui lui a permis de révéler son savoir-faire.
Amener de nouveaux savoir-faire
Durant sa formation à la prestigieuse Ecole Boulle, Célia Suzanne est amenée à découvrir de nouvelles techniques et de nouvelles matières. Elle travaille parfois des matières éloignées de celles qu’on utilise traditionnellement en marqueterie comme les émaux et la dorure. Selon elle, « les métiers d’art auront tendance à s’appauvrir petit-à-petit s’ils restent simplement dans leur aspect traditionnel ». C’est pour cela qu’elle a pour objectif d’amener de nouveaux savoir-faire dans sa propre discipline.
Célia Suzanne se destinait à travailler dans une des filières des Arts Appliqués mais considérait qu’elle n’était pas assez en contact avec la matière. Elle s’est alors tournée vers un artisanat rare : la marqueterie de paille.
Amoureuse de la matière
Amoureuse de la matière, Célia Suzanne s'intéresse à de nombreuses matières : bois, métal, corne et même écailles de tortue...