Muscadin "Fleur de tiaré"
Le Muscadin "fleur de tiaré", création de Laurence Raverdau, est un coussin décoratif fait à la main en velours de coton et parfumé à la fleur de tiaré.
Cet objet de décoration pour la maison apporte une touche de couleur et un parfum subtil de fleur de tiaré à la pièce où il se trouve. Le Muscadin "fleur de tiaré" est habillé de velours de coton jaune. Réinvestissant une forme traditionnelle en macaron, il est entièrement cousu à la main. Le muscadin présente un plissé soleil sur le dessus, qui se déploie en rayonnant autour d’un bouton central, et un plissé tressé sur le côté.
Pour réveiller cette forme avec une touche de modernité, Laurence Raverdeau propose une déclinaison de neuf couleurs intenses. Mais c’est au cœur du coussin, sous le bouton central du plissé soleil, que se révèle toute l’inventivité de la courtepointière. Dans le velours de coton, choisi pour sa douceur, mais aussi pour capacité à s’imprégner d’un parfum, se cachent des perles de senteur, élaborées à Grasse. Le muscadin diffuse ainsi un parfum léger pendant plusieurs mois. On peut ensuite le recharger : neuf fragrances ont été créées pour l’habiller d’un sillage unique.
Tout en douceur, en élégance, en arômes délicats, le muscadin est un véritable ravissement pour les sens.
Découvrez les autres parfums du Muscadin :
Orange-cannelle, nougat grillé, bonbon à la violette, fleur de Tiaré, pivoine d’Orient, rhubarbe d’antan, mûrelitchi,
fleur de coton, fleur de cerisier.
Les recharges d’extrait de parfum sont disponibles à l’Atelier Laurence D. Contacter l'artisan.
- Dimensions : diamètre 27 cm, hauteur 10 cm
- Quantité : 5
Laurence Raverdeau
Laurence Raverdeau
Laurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière».
Un artisanat d'art textile hérité du moyen âge
Alors que le tapissier s’occupe de la garniture de la tapisserie d’ameublement, la tapissière (ou courtepointière) se consacre à sa couture et à son décor. Laurence Raverdeau est l’héritière des artisans du Moyen-Âge qui confectionnaient les courtines (rideaux de lit) et les courtepointes (couvertures piquées). Elle met en œuvre des techniques traditionnelles pour réaliser des décors de fenêtre, drapés, festons, rideaux, ou décors de lits. C’est la couture d’ameublement.
Une exigence de qualité extrême
Si la courtepointière a été élue Meilleur Ouvrier de France en 2011, et reçu le label « entreprise du patrimoine vivant », ce n’est pas un hasard. Laurence Raverdeau exerce son métier avec une exigence extrême, dans les règles de l’art. Chaque jour, elle travaille sur des projets d’exception : quand elle ne confectionne pas une centaine de coussins brodés pour le salon d’un client Koweitien, elle restaure des décors historiques pour le Musée du Louvre. Laurence Raverdeau aime aussi innover. Elle a ainsi inventé et réalisé une pièce sensorielle unique en son genre, le coussin Muscadin parfumé et rechargeable, à découvrir sur ArtisanArt.
Laurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière»...
Voir plusRéduireLaurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière».
Un artisanat d'art textile hérité du moyen âge
Alors que le tapissier s’occupe de la garniture de la tapisserie d’ameublement, la tapissière (ou courtepointière) se consacre à sa couture et à son décor. Laurence Raverdeau est l’héritière des artisans du Moyen-Âge qui confectionnaient les courtines (rideaux de lit) et les courtepointes (couvertures piquées). Elle met en œuvre des techniques traditionnelles pour réaliser des décors de fenêtre, drapés, festons, rideaux, ou décors de lits. C’est la couture d’ameublement.
Une exigence de qualité extrême
Si la courtepointière a été élue Meilleur Ouvrier de France en 2011, et reçu le label « entreprise du patrimoine vivant », ce n’est pas un hasard. Laurence Raverdeau exerce son métier avec une exigence extrême, dans les règles de l’art. Chaque jour, elle travaille sur des projets d’exception : quand elle ne confectionne pas une centaine de coussins brodés pour le salon d’un client Koweitien, elle restaure des décors historiques pour le Musée du Louvre. Laurence Raverdeau aime aussi innover. Elle a ainsi inventé et réalisé une pièce sensorielle unique en son genre, le coussin Muscadin parfumé et rechargeable, à découvrir sur ArtisanArt.
Laurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière»...
Voir plusRéduireLaurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière».
Un artisanat d'art textile hérité du moyen âge
Alors que le tapissier s’occupe de la garniture de la tapisserie d’ameublement, la tapissière (ou courtepointière) se consacre à sa couture et à son décor. Laurence Raverdeau est l’héritière des artisans du Moyen-Âge qui confectionnaient les courtines (rideaux de lit) et les courtepointes (couvertures piquées). Elle met en œuvre des techniques traditionnelles pour réaliser des décors de fenêtre, drapés, festons, rideaux, ou décors de lits. C’est la couture d’ameublement.
Une exigence de qualité extrême
Si la courtepointière a été élue Meilleur Ouvrier de France en 2011, et reçu le label « entreprise du patrimoine vivant », ce n’est pas un hasard. Laurence Raverdeau exerce son métier avec une exigence extrême, dans les règles de l’art. Chaque jour, elle travaille sur des projets d’exception : quand elle ne confectionne pas une centaine de coussins brodés pour le salon d’un client Koweitien, elle restaure des décors historiques pour le Musée du Louvre. Laurence Raverdeau aime aussi innover. Elle a ainsi inventé et réalisé une pièce sensorielle unique en son genre, le coussin Muscadin parfumé et rechargeable, à découvrir sur ArtisanArt.
Laurence Raverdeau a installé son atelier dans la dernière cour d’industrie du 11ème arrondissement de Paris. Taffetas, velours, soie, matières brodées… l’endroit regorge de tissus de haute qualité. Pourtant, elle n’est pas couturière mais «tapissière d’ameublement couture et décor», une profession à part entière, qui n’est pas le féminin de «tapissier». Pour éviter la confusion, Laurence préfère s’intituler «courtepointière»...
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