Pierre à caresses
Cette pierre d'albâtre de Volterra a été incrustée de marqueterie de paille.
En créant cet objet d’art unique, la marqueteuse de paille Valérie Colas des Francs a voulu un effet de contrastes. Elle joint légèreté de la paille et poids de l’albâtre. Elle s'intéresse au dialogue de la lumière avec le minéral, entre opalescence de l’albâtre et brillant de la silice.
Le galet d’albâtre provient de Volterra, en Toscane. Cette roche est utilisée en décoration d’intérieur pour son aspect légèrement translucide, la richesse des veinures, et la tendreté de la pierre qui facilite le travail de motifs.
La marqueteuse a dessiné à même la pierre, puis un marbrier d’art l’a polie et sculptée. La créatrice a ensuite inséré dans le galet une mosaïque de vagues de marqueterie de paille d’une grande finesse.
C’est une « pierre à toucher ». La douceur fraîche et lisse de l’albâtre, le côté terrien de la paille remettent la nature à portée de main, le temps d’une caresse.
- Dimensions : environ 25 cm x 15 cm
- Quantité : 1
Valérie Colas des Francs
Valérie Colas des Francs
Valérie Colas des Francs sublime ses créations grâce à de simples fétus de paille de seigle : elle fend, écrase et taille chaque brin, qu’elle vient plaquer sur des objets. Marqueteur de paille, un métier rare : Valérie a été formée il y a 16 ans par Lison de Caunes, alors seule à exercer cet art en France. Aujourd’hui, une vingtaine d’artisans français pratique la marqueterie de paille. Après 15 ans passés auprès du Maître d’Art De Caunes, Valérie décide d’ouvrir son propre atelier. Voilà un an et demi que la marqueteuse a investi la cour du château de Nemours.
Fascinée par la paille
Après une carrière en marketing, Valérie Colas des Francs se reconvertit dans la marqueterie de paille. «J’ai choisi un travail fastidieux, pour voir si j’étais capable de me contenter d’avancer de 2 cm² par jour ; tout est fait à la main, c’est d’une minutie extrême». Défi réussi : Valérie est tombée sous le charme de la paille. «Avec cette matière, on est vraiment dans des reflets étonnants, c’est très vivant, alors qu’à la base tout part d’une simple tige !». Cette brillance, la paille de seigle la tire de la silice, un minéral qu’elle puise dans le sol, et qui agit comme un vernis, captant naturellement la lumière.
La première à faire des bijoux
Valérie maîtrise les techniques de la marqueterie, et connaît parfaitement l’esthétique Art Déco, où la paille est traditionnellement utilisée en architecture d’intérieur. Mais ce savoir-faire, Valérie le met au service de l’innovation : «Je pense que j’ai été la première, il y a 10 ans, à faire des bijoux ou des accessoires de mode». Pendentifs, montres, briquets… Valérie fait sortir la paille de ses contextes habituels. Son rêve : travailler pour un grand couturier. «Je trouve que la matière, avec sa brillance, peut apporter un effet magique, personne n’a encore utilisé la paille dans la haute-couture». Peut-être sera-t-elle la première ?
Valérie Colas des Francs sublime ses créations grâce à de simples fétus de paille de seigle : elle fend, écrase et taille chaque brin, qu’elle vient plaquer sur des objets. Marqueteur de paille, un métier rare : Valérie a été formée il y a 16 ans par Lison de Caunes, alors seule à exercer cet art en France. Aujourd’hui, une vingtaine d’artisans français pratique la marqueterie de paille...
Voir plusRéduireValérie Colas des Francs sublime ses créations grâce à de simples fétus de paille de seigle : elle fend, écrase et taille chaque brin, qu’elle vient plaquer sur des objets. Marqueteur de paille, un métier rare : Valérie a été formée il y a 16 ans par Lison de Caunes, alors seule à exercer cet art en France. Aujourd’hui, une vingtaine d’artisans français pratique la marqueterie de paille. Après 15 ans passés auprès du Maître d’Art De Caunes, Valérie décide d’ouvrir son propre atelier. Voilà un an et demi que la marqueteuse a investi la cour du château de Nemours.
Fascinée par la paille
Après une carrière en marketing, Valérie Colas des Francs se reconvertit dans la marqueterie de paille. «J’ai choisi un travail fastidieux, pour voir si j’étais capable de me contenter d’avancer de 2 cm² par jour ; tout est fait à la main, c’est d’une minutie extrême». Défi réussi : Valérie est tombée sous le charme de la paille. «Avec cette matière, on est vraiment dans des reflets étonnants, c’est très vivant, alors qu’à la base tout part d’une simple tige !». Cette brillance, la paille de seigle la tire de la silice, un minéral qu’elle puise dans le sol, et qui agit comme un vernis, captant naturellement la lumière.
La première à faire des bijoux
Valérie maîtrise les techniques de la marqueterie, et connaît parfaitement l’esthétique Art Déco, où la paille est traditionnellement utilisée en architecture d’intérieur. Mais ce savoir-faire, Valérie le met au service de l’innovation : «Je pense que j’ai été la première, il y a 10 ans, à faire des bijoux ou des accessoires de mode». Pendentifs, montres, briquets… Valérie fait sortir la paille de ses contextes habituels. Son rêve : travailler pour un grand couturier. «Je trouve que la matière, avec sa brillance, peut apporter un effet magique, personne n’a encore utilisé la paille dans la haute-couture». Peut-être sera-t-elle la première ?
Valérie Colas des Francs sublime ses créations grâce à de simples fétus de paille de seigle : elle fend, écrase et taille chaque brin, qu’elle vient plaquer sur des objets. Marqueteur de paille, un métier rare : Valérie a été formée il y a 16 ans par Lison de Caunes, alors seule à exercer cet art en France. Aujourd’hui, une vingtaine d’artisans français pratique la marqueterie de paille...
Voir plusRéduireValérie Colas des Francs sublime ses créations grâce à de simples fétus de paille de seigle : elle fend, écrase et taille chaque brin, qu’elle vient plaquer sur des objets. Marqueteur de paille, un métier rare : Valérie a été formée il y a 16 ans par Lison de Caunes, alors seule à exercer cet art en France. Aujourd’hui, une vingtaine d’artisans français pratique la marqueterie de paille. Après 15 ans passés auprès du Maître d’Art De Caunes, Valérie décide d’ouvrir son propre atelier. Voilà un an et demi que la marqueteuse a investi la cour du château de Nemours.
Fascinée par la paille
Après une carrière en marketing, Valérie Colas des Francs se reconvertit dans la marqueterie de paille. «J’ai choisi un travail fastidieux, pour voir si j’étais capable de me contenter d’avancer de 2 cm² par jour ; tout est fait à la main, c’est d’une minutie extrême». Défi réussi : Valérie est tombée sous le charme de la paille. «Avec cette matière, on est vraiment dans des reflets étonnants, c’est très vivant, alors qu’à la base tout part d’une simple tige !». Cette brillance, la paille de seigle la tire de la silice, un minéral qu’elle puise dans le sol, et qui agit comme un vernis, captant naturellement la lumière.
La première à faire des bijoux
Valérie maîtrise les techniques de la marqueterie, et connaît parfaitement l’esthétique Art Déco, où la paille est traditionnellement utilisée en architecture d’intérieur. Mais ce savoir-faire, Valérie le met au service de l’innovation : «Je pense que j’ai été la première, il y a 10 ans, à faire des bijoux ou des accessoires de mode». Pendentifs, montres, briquets… Valérie fait sortir la paille de ses contextes habituels. Son rêve : travailler pour un grand couturier. «Je trouve que la matière, avec sa brillance, peut apporter un effet magique, personne n’a encore utilisé la paille dans la haute-couture». Peut-être sera-t-elle la première ?
Valérie Colas des Francs sublime ses créations grâce à de simples fétus de paille de seigle : elle fend, écrase et taille chaque brin, qu’elle vient plaquer sur des objets. Marqueteur de paille, un métier rare : Valérie a été formée il y a 16 ans par Lison de Caunes, alors seule à exercer cet art en France. Aujourd’hui, une vingtaine d’artisans français pratique la marqueterie de paille...
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