Pochette "la petite bleue"
La pochette « la petite bleue » est constituée au verso d’une chute de cuir de maroquinerie bleue, et au recto d’un textile conçu et tissé à la main par la créatrice Charlotte Simonis. La designer textile adope une démarche d'upcycling pour ses accessoires.
Pour « la petite bleue », elle a tissé un fil de lurex irisé avec son matériau de signature. Il s'agit de fines bandes de sacs plastiques découpées et cousues bout à bout sur des centaines de mètres, ici en blanc et noir. Charlotte Simonis définit son motif sur ordinateur, puis installe sa chaîne (les fils verticaux), en passe les fils sur les 1080 lisses de son métier à tisser. Elle peut alors réaliser son tissu, en croisant fil de trame et fil de chaîne, en actionnant les 24 cadres de son métier à tisser pour que le motif prenne corps dans le tissu. Il faut 66 passages de navette pour réaliser une bande de 4 cm de motif. La doublure est réalisée dans des chutes de rideaux de lin.
Pratique, esthétique, écologique, la pochette « la petite bleue » a toutes les qualités.
Charlotte Simonis travaille à présent pour un atelier qui fabrique des textiles pour les collections d'une grande maison de haute couture. Les pièces présentées sur ArtisanArt sont ses dernières créations personnelles disponibles.
- Dimensions : largeur 18 cm, hauteur 13 cm
- Quantité : 1
Charlotte Simonis
Charlotte Simonis
«La valeur n’attend pas le nombre des années». La citation va parfaitement à Charlotte Simonis, jeune designer textile. Sur son métier à tisser manuel, elle réalise des textiles aux motifs modernes, mêlant un fil à tisser qu’elle fabrique elle-même à partir de sacs plastiques à d’autres matériaux de récupération pour créer des accessoires uniques, dans une démarche d’upcycling de haute volée.
Une designer textile aux mains d’or
Charlotte Simonis a choisi le design textile par intérêt pour la création et le travail manuel «je viens d’une famille où faire avec ses mains est naturel ; si j’avais envie d’une robe, j’essayais d’abord de la faire moi-même». Aux Beaux-Arts de Bruxelles, où elle passe son master en design textile, elle apprend les propriétés des différents tissus, se prend de passion pour le tissage manuel, décroche un stage chez un grand créateur. Elle obtient ses lettres de références, intègre un atelier qui crée des tissus pour une maison de haute couture française : Charlotte Simonis a du talent.
Un textile éco-responsable à base de sacs plastiques
En projet de fin d’études, elle propose «upcycling plastic bags», un textile qui soit à la fois beau, et éco-responsable. «Ce n’est plus possible de fabriquer un tissu sans se demander d’où il vient ; le tissu, c’est le cœur du vêtement». Se rappelant un voyage au Burkina Faso, elle reprend et améliore une technique observée sur un marché artisanal. Elle fabrique son fil à tisser à partir de bandes de sacs plastiques qu’elle découpe et coud bout à bout. «On passe d’une durée de vie de quelques heures, pour un sac plastique, à des créations qui dureront des années».
Des créations qui soient belles avant tout
Charlotte Simonis mêle son matériau phare à d’autres matières récupérées (chutes de cuir de maroquinerie, tapisseries, fil pailleté), toujours de qualité. Elle travaille à la main sur son métier à tisser, conçoit des accessoires et objets uniques, tissés avec amour, dans le souci des générations futures. «Weaving out of love for the future», c’est le nom qu’elle a choisi pour sa marque. Un projet porteur, qui lui a permis de remporter le prix du meilleur artisan bruxellois en 2015.
«La valeur n’attend pas le nombre des années». La citation va parfaitement à Charlotte Simonis, jeune designer textile. Sur son métier à tisser manuel, elle réalise des textiles aux motifs modernes, mêlant un fil à tisser qu’elle fabrique elle-même à partir de sacs plastiques à d’autres matériaux de récupération pour créer des accessoires uniques, dans une démarche d’upcycling de haute volée...
Voir plusRéduire«La valeur n’attend pas le nombre des années». La citation va parfaitement à Charlotte Simonis, jeune designer textile. Sur son métier à tisser manuel, elle réalise des textiles aux motifs modernes, mêlant un fil à tisser qu’elle fabrique elle-même à partir de sacs plastiques à d’autres matériaux de récupération pour créer des accessoires uniques, dans une démarche d’upcycling de haute volée.
Une designer textile aux mains d’or
Charlotte Simonis a choisi le design textile par intérêt pour la création et le travail manuel «je viens d’une famille où faire avec ses mains est naturel ; si j’avais envie d’une robe, j’essayais d’abord de la faire moi-même». Aux Beaux-Arts de Bruxelles, où elle passe son master en design textile, elle apprend les propriétés des différents tissus, se prend de passion pour le tissage manuel, décroche un stage chez un grand créateur. Elle obtient ses lettres de références, intègre un atelier qui crée des tissus pour une maison de haute couture française : Charlotte Simonis a du talent.
Un textile éco-responsable à base de sacs plastiques
En projet de fin d’études, elle propose «upcycling plastic bags», un textile qui soit à la fois beau, et éco-responsable. «Ce n’est plus possible de fabriquer un tissu sans se demander d’où il vient ; le tissu, c’est le cœur du vêtement». Se rappelant un voyage au Burkina Faso, elle reprend et améliore une technique observée sur un marché artisanal. Elle fabrique son fil à tisser à partir de bandes de sacs plastiques qu’elle découpe et coud bout à bout. «On passe d’une durée de vie de quelques heures, pour un sac plastique, à des créations qui dureront des années».
Des créations qui soient belles avant tout
Charlotte Simonis mêle son matériau phare à d’autres matières récupérées (chutes de cuir de maroquinerie, tapisseries, fil pailleté), toujours de qualité. Elle travaille à la main sur son métier à tisser, conçoit des accessoires et objets uniques, tissés avec amour, dans le souci des générations futures. «Weaving out of love for the future», c’est le nom qu’elle a choisi pour sa marque. Un projet porteur, qui lui a permis de remporter le prix du meilleur artisan bruxellois en 2015.
«La valeur n’attend pas le nombre des années». La citation va parfaitement à Charlotte Simonis, jeune designer textile. Sur son métier à tisser manuel, elle réalise des textiles aux motifs modernes, mêlant un fil à tisser qu’elle fabrique elle-même à partir de sacs plastiques à d’autres matériaux de récupération pour créer des accessoires uniques, dans une démarche d’upcycling de haute volée...
Voir plusRéduire«La valeur n’attend pas le nombre des années». La citation va parfaitement à Charlotte Simonis, jeune designer textile. Sur son métier à tisser manuel, elle réalise des textiles aux motifs modernes, mêlant un fil à tisser qu’elle fabrique elle-même à partir de sacs plastiques à d’autres matériaux de récupération pour créer des accessoires uniques, dans une démarche d’upcycling de haute volée.
Une designer textile aux mains d’or
Charlotte Simonis a choisi le design textile par intérêt pour la création et le travail manuel «je viens d’une famille où faire avec ses mains est naturel ; si j’avais envie d’une robe, j’essayais d’abord de la faire moi-même». Aux Beaux-Arts de Bruxelles, où elle passe son master en design textile, elle apprend les propriétés des différents tissus, se prend de passion pour le tissage manuel, décroche un stage chez un grand créateur. Elle obtient ses lettres de références, intègre un atelier qui crée des tissus pour une maison de haute couture française : Charlotte Simonis a du talent.
Un textile éco-responsable à base de sacs plastiques
En projet de fin d’études, elle propose «upcycling plastic bags», un textile qui soit à la fois beau, et éco-responsable. «Ce n’est plus possible de fabriquer un tissu sans se demander d’où il vient ; le tissu, c’est le cœur du vêtement». Se rappelant un voyage au Burkina Faso, elle reprend et améliore une technique observée sur un marché artisanal. Elle fabrique son fil à tisser à partir de bandes de sacs plastiques qu’elle découpe et coud bout à bout. «On passe d’une durée de vie de quelques heures, pour un sac plastique, à des créations qui dureront des années».
Des créations qui soient belles avant tout
Charlotte Simonis mêle son matériau phare à d’autres matières récupérées (chutes de cuir de maroquinerie, tapisseries, fil pailleté), toujours de qualité. Elle travaille à la main sur son métier à tisser, conçoit des accessoires et objets uniques, tissés avec amour, dans le souci des générations futures. «Weaving out of love for the future», c’est le nom qu’elle a choisi pour sa marque. Un projet porteur, qui lui a permis de remporter le prix du meilleur artisan bruxellois en 2015.
«La valeur n’attend pas le nombre des années». La citation va parfaitement à Charlotte Simonis, jeune designer textile. Sur son métier à tisser manuel, elle réalise des textiles aux motifs modernes, mêlant un fil à tisser qu’elle fabrique elle-même à partir de sacs plastiques à d’autres matériaux de récupération pour créer des accessoires uniques, dans une démarche d’upcycling de haute volée...
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