Stylo roller en ébène et olivier
Ce stylo roller a été créé par le tourneur sur bois Matthieu Coulanges. Il a travaillé ici des essences d’ébène et d'olivier, retenu pour la richesse de son veinage.
L’ébène, bois rare, apporte au stylo de la douceur au toucher par son grain très fin. L'olivier présente également un toucher très doux. Matthieu Coulanges a toujours à l'esprit la bonne prise en main de ses stylos. Il y est particulièrement sensible car il crée également des outils pour l'estampe, qu'il pratique.
Matthieu Coulanges travaille avec des morceaux de bois brut qu’il assemble, colle, et perce pour y placer un tube de renfort en laiton qui lui permet de souder ensemble les différentes parties du corps du porte-mine. Puis le tourneur sur bois usine son assemblage à la gouge sur le tour à bois électrique. Il cherche à obtenir un roller raffiné, facile à prendre en main. Les finitions, ponçage et pose de gomme-laque, protègent et rehaussent le dessin des veines du bois.
Le mécanisme du stylo, en métal argenté, provient des Etats-Unis. Les recharges s’achètent dans toutes les papeteries.
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Matthieu Coulanges
Matthieu Coulanges
Matthieu Coulanges a installé son atelier dans une petite dépendance de sa maison basse d’ouvrier à Ostove, au Nord de la France. Ici, entre les machines et les copeaux, l’artisan d’art tourne le bois, sa première passion, dont il a fait son métier, développant notamment une gamme dédiée à l’écriture, et une autre à la gravure, son violon d’Ingres.
Tourneur sur bois, un métier rare
Matthieu Coulanges était ingénieur informaticien. En 2007, il a un coup de cœur pour le bois et l’artisanat, et se lance dans le bois tourné. Tous les tourneurs d’art vivent cette véritable passion pour le bois : ils ont une forme de tendresse pour cette matière vivante, reconnaissent d’un coup d’oeil l’essence, l’âge du morceau de bois qu’ils vont travailler. Ils parlent d’explorer les veines du bois, d’y déchiffrer son histoire, avec une sorte de poésie. Ils connaissent aussi les règles de séchage, les taux d’hygrométrie, le grain et la densité, et la manière de travailler chaque type de bois. Matthieu Coulanges fait partie de ces passionnés. A ses débuts dans le bois tourné, il se découvre un don pour la discipline, et désire rapidement en faire son métier. Un choix assez rare, les tourneurs d’art parvenant à vivre de leur métier représentant environ 75 personnes en France.
Une référence dans le monde de l’estampe et de la gravure
Avec une gouge, Matthieu Coulanges sculpte le bois en rotation sur un tour électrique, pour créer toute une gamme d’articles d’écriture, stylos et porte-mines, mais aussi une gamme dédiée à l’art de l’estampe et de la gravure, son autre passion. Pointes sèches pour eau-forte, grattoirs, brunissoirs, plumes de calligraphe, l’artisan d’art s’est fait un nom en développant des outils pour professionnels. Il pratique lui-même la gravure et l’estampe, ce qui lui permet de toujours améliorer l’ergonomie de ses outils. Pour le côté esthétique, c’est son exigence personnelle qui prime, et qui fait la différence : ses «outils d’art» sont devenus une référence dans le monde de la gravure et de l’écriture.
Matthieu Coulanges a installé son atelier dans une petite dépendance de sa maison basse d’ouvrier à Ostove, au Nord de la France. Ici, entre les machines et les copeaux, l’artisan d’art tourne le bois, sa première passion, dont il a fait son métier, développant notamment une gamme dédiée à l’écriture, et une autre à la gravure, son violon d’Ingres.
Tourneur sur bois, un métier rare
Matthieu Coulanges était ingénieur informaticien...
Matthieu Coulanges a installé son atelier dans une petite dépendance de sa maison basse d’ouvrier à Ostove, au Nord de la France. Ici, entre les machines et les copeaux, l’artisan d’art tourne le bois, sa première passion, dont il a fait son métier, développant notamment une gamme dédiée à l’écriture, et une autre à la gravure, son violon d’Ingres.
Tourneur sur bois, un métier rare
Matthieu Coulanges était ingénieur informaticien. En 2007, il a un coup de cœur pour le bois et l’artisanat, et se lance dans le bois tourné. Tous les tourneurs d’art vivent cette véritable passion pour le bois : ils ont une forme de tendresse pour cette matière vivante, reconnaissent d’un coup d’oeil l’essence, l’âge du morceau de bois qu’ils vont travailler. Ils parlent d’explorer les veines du bois, d’y déchiffrer son histoire, avec une sorte de poésie. Ils connaissent aussi les règles de séchage, les taux d’hygrométrie, le grain et la densité, et la manière de travailler chaque type de bois. Matthieu Coulanges fait partie de ces passionnés. A ses débuts dans le bois tourné, il se découvre un don pour la discipline, et désire rapidement en faire son métier. Un choix assez rare, les tourneurs d’art parvenant à vivre de leur métier représentant environ 75 personnes en France.
Une référence dans le monde de l’estampe et de la gravure
Avec une gouge, Matthieu Coulanges sculpte le bois en rotation sur un tour électrique, pour créer toute une gamme d’articles d’écriture, stylos et porte-mines, mais aussi une gamme dédiée à l’art de l’estampe et de la gravure, son autre passion. Pointes sèches pour eau-forte, grattoirs, brunissoirs, plumes de calligraphe, l’artisan d’art s’est fait un nom en développant des outils pour professionnels. Il pratique lui-même la gravure et l’estampe, ce qui lui permet de toujours améliorer l’ergonomie de ses outils. Pour le côté esthétique, c’est son exigence personnelle qui prime, et qui fait la différence : ses «outils d’art» sont devenus une référence dans le monde de la gravure et de l’écriture.
Matthieu Coulanges a installé son atelier dans une petite dépendance de sa maison basse d’ouvrier à Ostove, au Nord de la France. Ici, entre les machines et les copeaux, l’artisan d’art tourne le bois, sa première passion, dont il a fait son métier, développant notamment une gamme dédiée à l’écriture, et une autre à la gravure, son violon d’Ingres.
Tourneur sur bois, un métier rare
Matthieu Coulanges était ingénieur informaticien...
Matthieu Coulanges a installé son atelier dans une petite dépendance de sa maison basse d’ouvrier à Ostove, au Nord de la France. Ici, entre les machines et les copeaux, l’artisan d’art tourne le bois, sa première passion, dont il a fait son métier, développant notamment une gamme dédiée à l’écriture, et une autre à la gravure, son violon d’Ingres.
Tourneur sur bois, un métier rare
Matthieu Coulanges était ingénieur informaticien. En 2007, il a un coup de cœur pour le bois et l’artisanat, et se lance dans le bois tourné. Tous les tourneurs d’art vivent cette véritable passion pour le bois : ils ont une forme de tendresse pour cette matière vivante, reconnaissent d’un coup d’oeil l’essence, l’âge du morceau de bois qu’ils vont travailler. Ils parlent d’explorer les veines du bois, d’y déchiffrer son histoire, avec une sorte de poésie. Ils connaissent aussi les règles de séchage, les taux d’hygrométrie, le grain et la densité, et la manière de travailler chaque type de bois. Matthieu Coulanges fait partie de ces passionnés. A ses débuts dans le bois tourné, il se découvre un don pour la discipline, et désire rapidement en faire son métier. Un choix assez rare, les tourneurs d’art parvenant à vivre de leur métier représentant environ 75 personnes en France.
Une référence dans le monde de l’estampe et de la gravure
Avec une gouge, Matthieu Coulanges sculpte le bois en rotation sur un tour électrique, pour créer toute une gamme d’articles d’écriture, stylos et porte-mines, mais aussi une gamme dédiée à l’art de l’estampe et de la gravure, son autre passion. Pointes sèches pour eau-forte, grattoirs, brunissoirs, plumes de calligraphe, l’artisan d’art s’est fait un nom en développant des outils pour professionnels. Il pratique lui-même la gravure et l’estampe, ce qui lui permet de toujours améliorer l’ergonomie de ses outils. Pour le côté esthétique, c’est son exigence personnelle qui prime, et qui fait la différence : ses «outils d’art» sont devenus une référence dans le monde de la gravure et de l’écriture.
Matthieu Coulanges a installé son atelier dans une petite dépendance de sa maison basse d’ouvrier à Ostove, au Nord de la France. Ici, entre les machines et les copeaux, l’artisan d’art tourne le bois, sa première passion, dont il a fait son métier, développant notamment une gamme dédiée à l’écriture, et une autre à la gravure, son violon d’Ingres.
Tourneur sur bois, un métier rare
Matthieu Coulanges était ingénieur informaticien...