Vase décoratif en bois tourné, chêne tigré
Cette sculpture a été créée par le tourneur sur bois Adam Cornish dans un « chêne brun ». C’est le nom donné au chêne quand il est attaqué par le champignon « langue de bœuf », qui en réagissant avec les tannins du bois, lui donne une coloration foncée et des rayures caractéristiques. Le tourneur d’art stoppe l’attaque du champignon avant de travailler le bois. Les motifs tigrés qui ornent la pièce sont rares, et très valorisés en ébénisterie et tournage d’art sur bois. Les rayures, légèrement bombées vers le haut, trouvent un bel effet d’écho avec les rayons médullaires du bois, incurvés vers le bas.
Les œuvres travaillées au tour à bois électrique sont généralement circulaires. Ici, le vase présente une ouverture de forme ovale : c’est que le chêne a été tourné alors qu’il venait de tomber ; lors du séchage, avec le travail du bois, la forme a pu évoluer pour donner ce volume ovale.
Après 6 semaines de séchage, 3 couches d’huile et une couche de cire ont été appliquées, qui protègent le bois en obstruant les pores, et la pièce a été polie, pour donner au vase décoratif un aspect satiné, et faire encore mieux ressortir les motifs tigrés.
Pièce unique
L’œuvre est envoyée avec sa base d’ardoise rectangulaire.
Adam Cornish recommande d’appliquer une à deux fois par an une très fine couche de cire microcristalline avec un chiffon doux. Penser à bien retirer la couche précédente en frottant avec un chiffon doux avant de renouveler l’application.
- Dimensions : diamètre 16 cm, hauteur 14,5 cm
- Quantité : 0
Adam Cornish
Adam Cornish
Dans son atelier de Bovey Tracey, dans le Devon, Adam Cornish, ancien inspecteur de police en retraite, a fait de sa passion un métier à plein temps : il est tourneur d’art sur bois. Adam Cornish sélectionne avec soin les parties de troncs de chêne qu’il va explorer pour «faire parler le bois» et réaliser chacune de ses sculptures, uniques par nature.
Le bois tourné, un héritage familial
Le père et le grand-père d’Adam Cornish pratiquaient le bois tourné, il se souvient de l’odeur du bois dans l’atelier de son père, a hérité des outils de son grand-père. Adam Cornish a également appris beaucoup avec d’autres tourneurs d’art, comme Peter Bomford ou Mark Sanger. Tourneur sur bois à plein temps depuis peu, il commence à jouir d’une belle reconnaissance dans le milieu de l’artisanat d’art en Angleterre.
Le chêne du Devon, sa matière de prédilection
Originaire du Devon, il a grandi dans la région où il peut retrouver la trace de ses ancêtres paternels et maternels jusqu’au début du XVIIème siècle. L’enfant du pays connaît bon nombre de bûcherons et garde-forestiers, qui lui signalent les arbres récemment abattus ou en passe de l’être. Au fil des années, il a acquis une connaissance du bois qui lui permet de savoir quelles parties du tronc seront porteuses des plus beaux motifs. Il travaille surtout le chêne, son essence préférée «un bois dur, plein, qui présente une gamme variée de couleurs et de grains, si l’on sait bien choisir ses morceaux».
Une esthétique de l’imperfection
Adam Cornish retient les parties du bois normalement destinées à être brûlées : les loupes, les parties attaquées par tel champignon, rongées par l’eau. Ces imperfections promettent des dessins spectaculaires dans la fibre du bois, que le tourneur sait mettre en valeur dans ses créations. «Je faisais du wabi sabi sans le savoir», explique-t-il, tout en se réjouissant qu’on puisse travailler la beauté de l’imperfection sans vouloir d’abord incarner un concept artistique : de l’artisanat d’art à la portée de tous, une belle approche du bois tourné.
Dans son atelier de Bovey Tracey, dans le Devon, Adam Cornish, ancien inspecteur de police en retraite, a fait de sa passion un métier à plein temps : il est tourneur d’art sur bois. Adam Cornish sélectionne avec soin les parties de troncs de chêne qu’il va explorer pour «faire parler le bois» et réaliser chacune de ses sculptures, uniques par nature...
Voir plusRéduireDans son atelier de Bovey Tracey, dans le Devon, Adam Cornish, ancien inspecteur de police en retraite, a fait de sa passion un métier à plein temps : il est tourneur d’art sur bois. Adam Cornish sélectionne avec soin les parties de troncs de chêne qu’il va explorer pour «faire parler le bois» et réaliser chacune de ses sculptures, uniques par nature.
Le bois tourné, un héritage familial
Le père et le grand-père d’Adam Cornish pratiquaient le bois tourné, il se souvient de l’odeur du bois dans l’atelier de son père, a hérité des outils de son grand-père. Adam Cornish a également appris beaucoup avec d’autres tourneurs d’art, comme Peter Bomford ou Mark Sanger. Tourneur sur bois à plein temps depuis peu, il commence à jouir d’une belle reconnaissance dans le milieu de l’artisanat d’art en Angleterre.
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Originaire du Devon, il a grandi dans la région où il peut retrouver la trace de ses ancêtres paternels et maternels jusqu’au début du XVIIème siècle. L’enfant du pays connaît bon nombre de bûcherons et garde-forestiers, qui lui signalent les arbres récemment abattus ou en passe de l’être. Au fil des années, il a acquis une connaissance du bois qui lui permet de savoir quelles parties du tronc seront porteuses des plus beaux motifs. Il travaille surtout le chêne, son essence préférée «un bois dur, plein, qui présente une gamme variée de couleurs et de grains, si l’on sait bien choisir ses morceaux».
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Dans son atelier de Bovey Tracey, dans le Devon, Adam Cornish, ancien inspecteur de police en retraite, a fait de sa passion un métier à plein temps : il est tourneur d’art sur bois. Adam Cornish sélectionne avec soin les parties de troncs de chêne qu’il va explorer pour «faire parler le bois» et réaliser chacune de ses sculptures, uniques par nature...
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Originaire du Devon, il a grandi dans la région où il peut retrouver la trace de ses ancêtres paternels et maternels jusqu’au début du XVIIème siècle. L’enfant du pays connaît bon nombre de bûcherons et garde-forestiers, qui lui signalent les arbres récemment abattus ou en passe de l’être. Au fil des années, il a acquis une connaissance du bois qui lui permet de savoir quelles parties du tronc seront porteuses des plus beaux motifs. Il travaille surtout le chêne, son essence préférée «un bois dur, plein, qui présente une gamme variée de couleurs et de grains, si l’on sait bien choisir ses morceaux».
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Adam Cornish retient les parties du bois normalement destinées à être brûlées : les loupes, les parties attaquées par tel champignon, rongées par l’eau. Ces imperfections promettent des dessins spectaculaires dans la fibre du bois, que le tourneur sait mettre en valeur dans ses créations. «Je faisais du wabi sabi sans le savoir», explique-t-il, tout en se réjouissant qu’on puisse travailler la beauté de l’imperfection sans vouloir d’abord incarner un concept artistique : de l’artisanat d’art à la portée de tous, une belle approche du bois tourné.
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