Серьги «Tropfen»
На немецком «Tropfen» значит «капли». Эти серьги на самом деле похожи на две самые простые зеленые капли - именно тот образ, который хотела создать ювелир и художница по эмали Ева Серенсен.
Обучившись как на художника ювелирных изделий (особенно в сфере работы с металлами), так и на специалиста по эмали, она разрабатывает и изготавливает изящные минималистичные изделия. При эмалировании сережек «Tropfen» она использовала особую технику под названием «plique-à-jour» (с франц. «пропускающий свет», «витражная»). Сначала она из эмалевого порошка (смесь мелко перемолотых минералов и оксидов) изготавливает эмалевую массу. Затем она заполняет ей внутреннюю часть каркаса капель, который она размещает на специальной подложке. После этого она отправляет серьги в печь, нагретую до температуры 800°C. При обжиге эмалевая масса приобретает вид стекла и схватывается с серебряными краями капель, но не с подложкой. Теперь эмалировщик может легко отделить капли от подложки. Так серьги приобретают вид витража и способны пропускать сквозь себя свет.
- Quantité : 5
Eva Sörensen
Eva Sörensen
Dans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant.
L’émail en héritage, le métal par passion
La mère d’Eva Soerensen travaillait l’émail, surtout la technique du cloisonné. Enfant, Eva Soerensen se souvient d’avoir rêvé devant les couleurs des bocaux de poudre d’émail, et des odeurs de peinture à l’huile (son grand père, artiste peintre, utilisait également l’atelier).
Comme c’est le métal qui l’intéresse, la résistance du matériau, le travail nécessaire pour lui faire prendre forme, elle commence un cursus en orfèvrerie, mais la manière d’enseigner ne lui convient pas. Revenue faire un stage auprès de sa mère, elle trouve un espace pour libérer sa créativité, s’exprimer à travers le métal et l’émail. Elle termine alors sa formation avec un parcours en design focalisé sur le travail du métal, apportant sa connaissance de l’émail, en particulier la technique de l’émail «à jours».
Emaux et métaux, un terrain de jeux à explorer
Aujourd’hui, dans son atelier, elle crée et cuit dans le four hérité de sa mère ses collections de bijoux en argent émaillé. Mais Eva Soerensen n’a pas fini d’explorer ce qu’elle appelle son «terrain de jeux» : elle réalise également des plaques de cuivre émaillées pour pierres tombales, qu’elle décore selon les vœux des familles, travaille des plats, des coupes…
Côté inspiration, l’artisan d’art, qui a choisi de vivre à Berlin, cite les nombreuses expositions de la ville, et ses échanges avec les 70 autres artistes et professionnels des métiers d’art qui travaillent dans la structure où se trouve son atelier. Des rencontres riches, porteuses de nouvelles découvertes.
Dans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant...
Voir plusRéduireDans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant.
L’émail en héritage, le métal par passion
La mère d’Eva Soerensen travaillait l’émail, surtout la technique du cloisonné. Enfant, Eva Soerensen se souvient d’avoir rêvé devant les couleurs des bocaux de poudre d’émail, et des odeurs de peinture à l’huile (son grand père, artiste peintre, utilisait également l’atelier).
Comme c’est le métal qui l’intéresse, la résistance du matériau, le travail nécessaire pour lui faire prendre forme, elle commence un cursus en orfèvrerie, mais la manière d’enseigner ne lui convient pas. Revenue faire un stage auprès de sa mère, elle trouve un espace pour libérer sa créativité, s’exprimer à travers le métal et l’émail. Elle termine alors sa formation avec un parcours en design focalisé sur le travail du métal, apportant sa connaissance de l’émail, en particulier la technique de l’émail «à jours».
Emaux et métaux, un terrain de jeux à explorer
Aujourd’hui, dans son atelier, elle crée et cuit dans le four hérité de sa mère ses collections de bijoux en argent émaillé. Mais Eva Soerensen n’a pas fini d’explorer ce qu’elle appelle son «terrain de jeux» : elle réalise également des plaques de cuivre émaillées pour pierres tombales, qu’elle décore selon les vœux des familles, travaille des plats, des coupes…
Côté inspiration, l’artisan d’art, qui a choisi de vivre à Berlin, cite les nombreuses expositions de la ville, et ses échanges avec les 70 autres artistes et professionnels des métiers d’art qui travaillent dans la structure où se trouve son atelier. Des rencontres riches, porteuses de nouvelles découvertes.
Dans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant...
Voir plusRéduireDans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant.
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La mère d’Eva Soerensen travaillait l’émail, surtout la technique du cloisonné. Enfant, Eva Soerensen se souvient d’avoir rêvé devant les couleurs des bocaux de poudre d’émail, et des odeurs de peinture à l’huile (son grand père, artiste peintre, utilisait également l’atelier).
Comme c’est le métal qui l’intéresse, la résistance du matériau, le travail nécessaire pour lui faire prendre forme, elle commence un cursus en orfèvrerie, mais la manière d’enseigner ne lui convient pas. Revenue faire un stage auprès de sa mère, elle trouve un espace pour libérer sa créativité, s’exprimer à travers le métal et l’émail. Elle termine alors sa formation avec un parcours en design focalisé sur le travail du métal, apportant sa connaissance de l’émail, en particulier la technique de l’émail «à jours».
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Aujourd’hui, dans son atelier, elle crée et cuit dans le four hérité de sa mère ses collections de bijoux en argent émaillé. Mais Eva Soerensen n’a pas fini d’explorer ce qu’elle appelle son «terrain de jeux» : elle réalise également des plaques de cuivre émaillées pour pierres tombales, qu’elle décore selon les vœux des familles, travaille des plats, des coupes…
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Dans son atelier berlinois, Eva Soerensen allie deux passions, deux savoir-faire : le travail du métal, pour créer notamment des bijoux, et le travail de l’émail, hérité de sa mère. La créatrice, qui a également suivi une formation en design, dessine et réalise elle-même ses maquettes en argent, puis travaille l’émaillage et les finitions de ses bijoux. A la croisée de deux arts du feu, ses créations ne manquent pas de brillant...
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