Photophore "Lichtobject" 1
Avec la série « lichtobjecten », « objets de lumière », la céramiste Marie-Anne Ver Eecke, fascinée par le blanc pur et la transparence de la porcelaine, souhaitait approfondir ce jeu de la matière avec la lumière.
Elle travaille à la porcelaine de coulage. Elle prépare un mélange de porcelaine liquide et de petites perles combustibles, qu’elle verse dans un moule. Toute la difficulté consiste à bien doser le temps de pose du mélange : plus la paroi est fine, plus l’objet sera translucide, mais la cuisson n’en sera que plus délicate.
Viennent ensuite deux cuissons, durant jusqu’à 3 jours, plus un jour de refroidissement. L’ouverture du four se fait toujours avec une certaine émotion au moment de découvrir l’objet final. Au cours de la cuisson, les perles ont brûlé, laissant leur empreinte en creux dans la paroi des photophores, comme si la porcelaine était entrée en émulsion.
Les « lichtobjekten » sont pour Marie Anne Ver Eecke l’une de ses plus belles découvertes au cours de ses 20 ans de travail de céramiste.
- Dimensions : diamètre 8,5 cm, hauteur 4 cm
- Quantité : 1
Marie Anne Ver Eecke
Marie Anne Ver Eecke
Cela fait plus de 20 ans que Marie-Anne Ver Eecke est céramiste. La petite fille qui jouait dans l’atelier d’un céramiste belge de renom étant enfant a fait son chemin. Elle a trouvé ses fondamentaux avec des objets aux lignes pures où l’émaillage est très travaillé. Elle continue à se former auprès de céramistes dont elle admire le travail, «parce qu’on n’a jamais fini d’apprendre».
Une enfance marquée par le céramiste Rogier Vandeweghe
Enfant, Marie-Anne Ver Eecke jouait avec les enfants de Rogier Vandeweghe, céramiste belge qui a participé au renouveau de la céramique contemporaine en Flandre à partir des années 1950. Marie-Anne Ver Eecke grandit, rencontre d’autres céramistes, décide de se former.
Elle se souvient des pièces exposées dans la galerie…
A sa première exposition, Rogier Vandeweghe achète deux bols : un honneur.
Des objets aux lignes simples, aux glaçures travaillées
Marie-Anne Ver Eecke enchaîne les ateliers et masterclass auprès de maîtres en la matière : la diversité des techniques la passionne. Au tour, elle aime créer des formes simples, pour se concentrer sur l’émaillage et la cuisson. Elle en vient naturellement à travailler le chawan, ce bol à thé utilisé dans la cérémonie du thé matcha au Japon : «c’est la simplicité de ces objets qui fait toute leur beauté». Elle participe à des expositions spécialisées de Chawan à Taiwan, à Singapour, aux Etats Unis, et en Belgique.
«On n’a jamais fini d’apprendre»
Parmi ses plus belles découvertes comme céramiste, Marie-Anne Ver Eecke évoque les «lichtobjecten». Pour ses nouveaux défis, elle cite le travail de la céramique au moule ou à la plaque, qui permet d’explorer des formes plus libres qu’au tour. Et toujours les émaux. Après 20 ans de métier, elle n’a pas fini d’explorer toute la richesse de sa discipline : encore de belles découvertes à venir.
Cela fait plus de 20 ans que Marie-Anne Ver Eecke est céramiste. La petite fille qui jouait dans l’atelier d’un céramiste belge de renom étant enfant a fait son chemin. Elle a trouvé ses fondamentaux avec des objets aux lignes pures où l’émaillage est très travaillé. Elle continue à se former auprès de céramistes dont elle admire le travail, «parce qu’on n’a jamais fini d’apprendre»...
Voir plusRéduireCela fait plus de 20 ans que Marie-Anne Ver Eecke est céramiste. La petite fille qui jouait dans l’atelier d’un céramiste belge de renom étant enfant a fait son chemin. Elle a trouvé ses fondamentaux avec des objets aux lignes pures où l’émaillage est très travaillé. Elle continue à se former auprès de céramistes dont elle admire le travail, «parce qu’on n’a jamais fini d’apprendre».
Une enfance marquée par le céramiste Rogier Vandeweghe
Enfant, Marie-Anne Ver Eecke jouait avec les enfants de Rogier Vandeweghe, céramiste belge qui a participé au renouveau de la céramique contemporaine en Flandre à partir des années 1950. Marie-Anne Ver Eecke grandit, rencontre d’autres céramistes, décide de se former.
Elle se souvient des pièces exposées dans la galerie…
A sa première exposition, Rogier Vandeweghe achète deux bols : un honneur.
Des objets aux lignes simples, aux glaçures travaillées
Marie-Anne Ver Eecke enchaîne les ateliers et masterclass auprès de maîtres en la matière : la diversité des techniques la passionne. Au tour, elle aime créer des formes simples, pour se concentrer sur l’émaillage et la cuisson. Elle en vient naturellement à travailler le chawan, ce bol à thé utilisé dans la cérémonie du thé matcha au Japon : «c’est la simplicité de ces objets qui fait toute leur beauté». Elle participe à des expositions spécialisées de Chawan à Taiwan, à Singapour, aux Etats Unis, et en Belgique.
«On n’a jamais fini d’apprendre»
Parmi ses plus belles découvertes comme céramiste, Marie-Anne Ver Eecke évoque les «lichtobjecten». Pour ses nouveaux défis, elle cite le travail de la céramique au moule ou à la plaque, qui permet d’explorer des formes plus libres qu’au tour. Et toujours les émaux. Après 20 ans de métier, elle n’a pas fini d’explorer toute la richesse de sa discipline : encore de belles découvertes à venir.
Cela fait plus de 20 ans que Marie-Anne Ver Eecke est céramiste. La petite fille qui jouait dans l’atelier d’un céramiste belge de renom étant enfant a fait son chemin. Elle a trouvé ses fondamentaux avec des objets aux lignes pures où l’émaillage est très travaillé. Elle continue à se former auprès de céramistes dont elle admire le travail, «parce qu’on n’a jamais fini d’apprendre»...
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Enfant, Marie-Anne Ver Eecke jouait avec les enfants de Rogier Vandeweghe, céramiste belge qui a participé au renouveau de la céramique contemporaine en Flandre à partir des années 1950. Marie-Anne Ver Eecke grandit, rencontre d’autres céramistes, décide de se former.
Elle se souvient des pièces exposées dans la galerie…
A sa première exposition, Rogier Vandeweghe achète deux bols : un honneur.
Des objets aux lignes simples, aux glaçures travaillées
Marie-Anne Ver Eecke enchaîne les ateliers et masterclass auprès de maîtres en la matière : la diversité des techniques la passionne. Au tour, elle aime créer des formes simples, pour se concentrer sur l’émaillage et la cuisson. Elle en vient naturellement à travailler le chawan, ce bol à thé utilisé dans la cérémonie du thé matcha au Japon : «c’est la simplicité de ces objets qui fait toute leur beauté». Elle participe à des expositions spécialisées de Chawan à Taiwan, à Singapour, aux Etats Unis, et en Belgique.
«On n’a jamais fini d’apprendre»
Parmi ses plus belles découvertes comme céramiste, Marie-Anne Ver Eecke évoque les «lichtobjecten». Pour ses nouveaux défis, elle cite le travail de la céramique au moule ou à la plaque, qui permet d’explorer des formes plus libres qu’au tour. Et toujours les émaux. Après 20 ans de métier, elle n’a pas fini d’explorer toute la richesse de sa discipline : encore de belles découvertes à venir.
Cela fait plus de 20 ans que Marie-Anne Ver Eecke est céramiste. La petite fille qui jouait dans l’atelier d’un céramiste belge de renom étant enfant a fait son chemin. Elle a trouvé ses fondamentaux avec des objets aux lignes pures où l’émaillage est très travaillé. Elle continue à se former auprès de céramistes dont elle admire le travail, «parce qu’on n’a jamais fini d’apprendre»...
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